L'utilisation de la Folie et des Troubles Mentaux en
JDRContient : banal(...) N'oubliez pas quelques troubles mentaux fréquents dans la vraie vie mais assez peu retrouvés en JDR à cause de leur côté trèsbanalet peu spectaculaire : la dépression (« tristesse sans objet »), les états de stress aigu et post-traumatique (le fait de « revivre » en pensées un évènement particulièrement traumatisant, avec une grande angoisse) et enfin, les addictions : alcool, cannabis, médicaments, morphine, héroïne, cocaïne, crack, amphétamines... Ces dernières peuvent être potentiellement très intéressantes à jouer en JDR (comme ce vieux détective privé, ex-flic raté, qui a tendance à lever le coude un peu trop facilement...), et le livre de base de l'Appel de Cthulhu V6 décrit plutôt bien les effets de chaque substance ainsi que les symptômes de manque et les effets psychiques et physiques du sevrage... En termes de jeu, j'ai une certaine prédilection pour les « bizarreries » : des envies étranges irrépressibles, qui pour le coup sont rares dans la vraie vie, et transforment n'importe quel personnage en véritable monstre. (...)En jeu de rôles, le terme « folie » peut prendre bien des aspects et impliquer des éléments bien différents selon le type de partie et d'ambiance générale. Véritable sujet tarte à la crème, en particulier si la folie concerne un PJ, avec autant de manières de la traiter qu'il y a de MJ et de joueurs... Outre l'utilisation de la folie chez des PNJ comme élément d'ambiance, voici une réflexion et quelques techniques quand à la manière de gérer les effets sur la santé mentale des personnages favoris de ...