L'utilisation de la Folie et des Troubles Mentaux en
JDRContient : chronique (2)(...) L'affection peut très bien être temporaire, parfois pour très peu de temps (un coup de panique), tout comme elle peut être permanente (une psychosechroniquetype paranoïa) ; et son mode d'apparition peut être brutal comme il peut être insidieux. Surtout, ne vous limitez pas aux caricatures de la folie et à l'idée que peut s'en faire la concierge du coin. (...)
Par exemple, le joueur arachnophobe (phobie des araignées) ira de lui-même décréter que son PJ n'est vraiment plus bon à rien et reste planté, totalement paralysé, muet et pâle comme un linge à la vue de cette araignée géante de 3m d'envergure. Le joueur ayant un personnage alcooliquechroniquefera parfois volontairement passer la recherche d'alcool avant certaines affaires plus pressantes, etc... Ce genre de trouble mental est le plus souvent décidé dès la création du personnage, en collaboration avec le joueur. (...)En jeu de rôles, le terme « folie » peut prendre bien des aspects et impliquer des éléments bien différents selon le type de partie et d'ambiance générale. Véritable sujet tarte à la crème, en particulier si la folie concerne un PJ, avec autant de manières de la traiter qu'il y a de MJ et de joueurs... Outre l'utilisation de la folie chez des PNJ comme élément d'ambiance, voici une réflexion et quelques techniques quand à la manière de gérer les effets sur la santé mentale des personnages favoris de ...