L'utilisation de la Folie et des Troubles Mentaux en
JDRContient : conscience (2)(...) Vous aussi, vous voulez me droguer et m'enfermer !!! »), tout comme elle peut parfaitement en avoirconscienceet même la critiquer (comme dans les phobies : « Les rats, c'est plus fort que moi, je ne les supporte pas... J'ai l'impression qu'ils vont me submerger pour ensuite me bouffer... Je sais, c'est débile. (...)
Si votre joueur est assez fin, il fera la chose tellement naturellement que les autres joueurs ne feront pas forcément le lien entre son comportement étrange et le petit papier que vous lui avez glissé 5 minutes plus tôt... Je vous conseille alors d'écrire votre petit message à l'avance, sinon les joueurs vont se douter de quelque chose, à vous voir gribouiller un truc en plein milieu de la partie... Pour faire jouer des troubles plus insidieux tels que la paranoïa débutante, j'utilise des méthodes plus fines. Ceci est je pense, valable pour toute affection dont le joueur n'aurait pasconscienceet qui aurait une composante délirante. Le principe, c'est de ne pas parler du tout de trouble mental aux joueurs, y compris au joueur concerné. (...)En jeu de rôles, le terme « folie » peut prendre bien des aspects et impliquer des éléments bien différents selon le type de partie et d'ambiance générale. Véritable sujet tarte à la crème, en particulier si la folie concerne un PJ, avec autant de manières de la traiter qu'il y a de MJ et de joueurs... Outre l'utilisation de la folie chez des PNJ comme élément d'ambiance, voici une réflexion et quelques techniques quand à la manière de gérer les effets sur la santé mentale des personnages favoris de ...