L'utilisation de la Folie et des Troubles Mentaux en
JDRContient : psychiatrique (2)(...) Souvenez vous en particulier du film Dracula (1992) de F.F.Coppola, où le serviteur du comte (Mr Renfield), enfermé dans l'asilepsychiatrique, se mange goulument sa plâtrée de vermine grouillant dans sa gamelle : araignées, mille-pattes, vers et larves d'insectes... - Cannibalisme (merveilleuse source d'inspiration : Anthony Hopkins alias Hannibal Lecter dans Le Silence des Agneaux...) - Tendance à la nécrophagie... Si vous jouez dans une ambiance particulièrement sombre, glauque et adulte (PARENTAL ADVISORY ! (...)
La frustration ne tardera pas à venir si le PJ de votre joueur ne peut pas faire 2 pas dans la rue sans revivre toutes les 5 minutes son kidnapping, si son personnage est complètement déconnecté de la réalité, ou s'il absorbe tellement de médocs et de stupéfiants qu'il est ultra stone en permanence... Et si un PJ en arrive à un stade similaire, c'est qu'il n'est probablement plus bon à jouer... Autant en faire le deuil, le laisser à sa fin misérable en hôpitalpsychiatriqueet reprendre une nouvelle fiche... Dans le même ordre d'idée, avoir des manifestations de troubles mentaux trop fréquents et trop présents enlèverait le côté exceptionnel et déstabilisant de la chose, pour devenir carrément lourd... Dans le doute, mieux vaut une abstention qu'une folie mal gérée et trop pesante ! (...)En jeu de rôles, le terme « folie » peut prendre bien des aspects et impliquer des éléments bien différents selon le type de partie et d'ambiance générale. Véritable sujet tarte à la crème, en particulier si la folie concerne un PJ, avec autant de manières de la traiter qu'il y a de MJ et de joueurs... Outre l'utilisation de la folie chez des PNJ comme élément d'ambiance, voici une réflexion et quelques techniques quand à la manière de gérer les effets sur la santé mentale des personnages favoris de ...