La Disparition d'un Caïd
sur Le Labo de Bob au format
Contient : sol (7)(...) Ils doivent pour cela passer le hall d'entrée qui à lui seul montre bien le luxe ambiant. Les colonnes en marbre montent jusqu'au plafond qui semble hors de portée. Lesol, composé de la même matière, est si propre que l'on peut presque se voir dedans. Sur la gauche la réception montre qu'il devait s'agir d'un ancien hôtel. (...)
Elle s'y est donc rendue aussitôt mais, quand elle est arrivée devant la porte, il n'y avait plus un bruit et elle était entrouverte. Dans l'entrebâillement, elle a pu distinguer le majordome, M. Perkins, étendu sur lesol. Elle est alors entrée et a vu que M. Jones avait disparu. Elle a laissé la chambre comme elle l'a trouvé. (...)
Ces derniers devraient alors se rendre compte qu'une fumée rouge est en train de se répandre sur lesol, jusqu'entre leurs pieds. Il leur est dorénavant impossible de bouger et même de parler. Leur vue commence à se troubler et une sorte de voile rouge se forme devant leurs yeux. (...)
• L'un des personnages ouvre les yeux pendant que le voile pourpre semble se retirer. Il est allongé sur unsolhumide et froid. Un cliquetis métallique semble lui indiquer qu'il est enchaîné ausol. • Un PJ se réveille alors que quelqu'un est en train de le traîner ausol. Il se rend compte qu'il tombe et, alors que son crâne heurte durement lesol, une onde de douleur se propage dans son cerveau. Le voile pourpre se reforme aussi vite qu'il était parti. • Le personnage reprend brièvement conscience alors qu'il semble être à l'arrière d'une camionnette. (...)Dans ce scénario, les personnages seront confrontés à certains utilisateurs du vaudou. Ce sera pour eux l'occasion de revoir Billy Jones. Dans des conditions un peu particulières... Les deux hommes se tenaient dans l'ombre, l'un en face de l'autre. Seule l'extrémité de la cigarette du plus petit rougeoyait dans le noir. Le plus grand reprit la parole. « Vous pensez vraiment pouvoir faire quelque chose pour mettre fin à tout ça ? -Evidemment, Billy, mais la vraie question est de ...