L'angoisse de la feuille blanche
Contient : bras (3)(...) Bien évidemment, n'omettez pas, une fois votre oeuvre achevée, de monter ranger celles qui vous seront restées sur lesbras: ce n'est pas parce qu'une de vos idées n'a pas eu sa place dans un scénario qu'elle est forcément mauvaise. (...)
Elle est tirée du film Black day at black rock de John Sturges. Dans ce film, le héros, un noir doux et sympathique aubrasgauche paralysé, subit continuellement les pires brimades de personnages haïssables et racistes. (...)
Après une heure de film, notre héros est provoqué par un individu odieux. Contre toute attente, il abandonne pour un instant son calme et sa gentillesse et envoie, de sonbrasvalide, l'odieux personnage valdinguer à l'autre bout du bar où se situe la scène, pour le plus grand soulagement des spectateurs... Pour les psychanalystes, la catharsis est « une réaction de libération ou de liquidation d'affects longtemps refoulés dans le subconscient et responsables d'un traumatisme psychique. (...)Quel meneur de jeu n'a un jour tenté d'écrire ses propres scénarios ? Quel meneur de jeu n'a alors jamais connu une irrépressible angoisse face à la feuille blanche ? Ou pire, quel meneur n'a jamais ressenti, après des jours voire des semaines d'un labeur exténuant, le sentiment que ce qu'il proposait à ses joueurs était loin de tenir la route ? C'est un lieu commun, mais il faut pourtant le répéter : Maléfices est un jeu de rôle qui a ses exigences. Si vous voulez rester fidèle à l'esprit du ...