Les mauvais garçons
Comme beaucoup s'accordent à le dire, Maléfices est un jeu de rôle dans lequel l'importance du scénario reste primordiale. L'équipe de Maléfices s'est d'ailleurs attachée à fournir à ses joueurs, depuis la sortie du jeu, des scénarios immédiatement jouables. Mais il est certain que les meneurs de jeu ont à cœur de créer eux-mêmes leurs histoires, de laisser leur imaginaire voguer librement vers des contrées d'ailleurs pas toujours avouables. De nombreux articles sont venus au secours de ces ...Contient : scénarios (4)(...) L'équipe de Maléfices s'est d'ailleurs attachée à fournir à ses joueurs, depuis la sortie du jeu, desscénariosimmédiatement jouables. Mais il est certain que les meneurs de jeu ont à coeur de créer eux-mêmes leurs histoires, de laisser leur imaginaire voguer librement vers des contrées d'ailleurs pas toujours avouables. (...)
Elles sont inusables ; n'ayez aucun scrupule à les employer, les plus grands sont passés par là. Elles vous permettront d'animer vosscénarios, d'y créer l'ambiance, et tout en campant le décor, de fournir à vos joueurs les renseignements indispensables au dénouement de l'histoire. (...)
I'm bad : D'abord, de tout ce qui n'est pas commun. Un méchant, du moins de ceux qui sont dignes de devenir une des figures marquantes de vosscénarios, n'est jamais médiocre. Il est ignoble, malfaisant, dépravé, sans scrupules, veule, lâche, sans parole, capable des pires atrocités, mais il ne peut pas se permettre d'être un personnage falot et inconsistant, que vos personnages ne prendront pas au sérieux et dont ils ne feront qu'une bouchée. (...)
Quelques jours plus tard, la guillotine mettait un terme à la carrière du plus monstrueux criminel de tous les temps : le Vampire de Düsseldorf. Oserez-vous utiliser dans un de vosscénariosun aussi ignoble personnage ? En tout cas, même si la psychologie d'un être aussi complexe est impossible à retranscrire exactement, voici ce que « serait », selon nous, Peter Kurten, si vos joueurs avaient pu le croiser : Nom : PETER KURTEN. (...)