Constantinople
sur Eric Christ au format (889 Ko)
Contient : descendants (2)(...) Il y avait là une menace pour l'avenir. Après la mort de Jean Tzimiskès, le pouvoir effectif revint, non sans difficulté du reste, auxdescendantsdirects de Basile Ier, qui ne l'avaient, en somme, exercé qu'à de rares intervalles et sans éclat depuis la mort de Léon VI. (...)
Il eut bien du mal à imposer son autorité à l'aristocratie locale et à défendre son Etat naissant contre les « Grands Comnènes », cesdescendantsd'Andronic installés à Trébizonde, et contre les Latins. Le désastre d'Andrinople le sauva. (...)Les Byzantins usaient ordinairement, pour désigner la capitale de leur Empire, de trois termes qui correspondent à son origine, à son rôle dans la vie politique, à sa suprématie économique et culturelle: ils l'appelaient soit la «ville de Constantin » (Kynstantinoupoliv), soit la «nouvelle Rome », soit la «reine des villes» (ou simplement la «reine», c basiliv). De fait, aucune nation peut-être n'a donné plus d'importance à sa capitale, et cette particularité explique bien des traits remarquables ...