La trilogie New-Yorkaise - chapitre premier : Obscured
by Cloudssur Eric Christ au format (117 Ko)
Le Fou : Sem se reposait quand la vague arriva sur lui. Il était assis, pour autant qu'on puisse utiliser le terne 'assis' pour la position relaxe qu'adoptait sa forme astrale dans cette région de l'Umbra ou il était confiné. Il est probable qu'il était encore en train de rêver à Gaïa, à la réalité physique qui lui était désormais fermée. Du temps de sa jeunesse il avait aime voyager dans l'Umbra, mais celle-ci le rendait malade désormais. Il détestait vivre dans ce monde de perfection intellectuelle ...Contient : libres (3)(...) En sortant du manoir, la boite en bois semble étrangement lourde sous le bras de son porteur. L'écharpe : Bien que le mentor ne l'ait pas précise, les mages sont parfaitementlibresd'ouvrir la boite. Elle est en bois noir très poli et n'est fermée que par un loquet de bois. (...)
Et celui-ci ne manquera pas de préciser que ce petit service n'est pas gratuit, avant de prendre les cordonnées des PJ pour remboursement ultérieur. Bien sur, ils sont parfaitementlibresde refuser, et de ne pas croire un mot de ce que Jonathan raconte. Ils ont tort. Organisez une petite poursuite avec les Technomaciens (car les pingouins de l'entrée en sont effectivement) et faites les sauver in extremis par l'intervention des Kreapers. (...)
Le taxi est déjà loin quand les passants, prenant conscience de ce qui vient de se passer, commencent à s'agiter. Les camions de pompiers ne vont pas tarder à arriver. Ennuis : Les mages sontlibresde tirer la conclusion qu'ils veulent de cet incident, mais ils feraient bien de se dépêcher, l'aéroport étant à prés de 2 heures de route aller-retour aux heures creuses. (...)