Campagne du Bateleur
sur La Page à Papat au format (40 Ko)
Cette campagne est basée sur plusieurs thèmes. Tout d'abord, la prédominance du pouvoir des Atouts mais aussi sur l'équilibre entre la Marelle et le Logrus, entre l'Ordre et le Chaos. Durant cette campagne, les personnages seront manipulés par le Bateleur. Ce dernier leur apparaîtra soit comme un mythomane, soit comme un métamorphe surdoué ou une puissance. Compulsion, mensonge, mascarade, tout sera bon pour manipuler les personnages. Tout l'art consistera pour vous, pauvre MJ, à convaincre les ...Contient : conseils (5)(...) A partir de ce tarot, il est donc possible de lire l'avenir. Si un joueur désire lire son avenir dans un jeu de tarot, vous pouvez à loisir, utiliser lesconseilsdu livre de règles en ajoutant quelques détails tirés des symboles ci-dessus. Mais le mieux est de donner cette liste au joueur, puis de lui indiquer quelles cartes il a tiré et le sens général de la prophétie. (...)
Alors qui osera s'asseoir en face de moi! - Moi Lewellyn, je relève le défi! - Et bien dans ce cas, je crois que tu auras besoin de mesconseils! souffla Tristan. - dans ce cas, à vous les blancs. M'annonça la Mort! ' Si c'est un Ambrien, il héritera des Blancs, sinon des noirs. La partie commence, entrecoupée desconseilset des réparties des joueurs. La Mort ne dit rien: elle joue. Délires visuels ou pression du jeu, mais le joueur assit a tendance à voir ses pièces prendre les formes et les visages des princes d'Ambre ou du Chaos. (...)
Cette créature, une espèce d'araignée, est sensée les accompagner et maintenir un contact avec lui: ' Au cas où vous auriez besoin deconseils, ou d'aide '. Il rassurera les joueurs en parlant de mesures de sécurité et de contact permanent, et ' ça vaux mieux que les atouts. (...)
S'il est parvenu à éviter la compulsion grâce à ses pouvoirs, là aussi il a retrouvé son libre arbitre, mais sans avoir besoin desconseilsdu MJ. Contrairement à la première compulsion, le joueur a une chance de s'en tirer. Au fait, que fait le joueur ici: Flashback, le retour ! (...)