Rituel sanglant sous une lune gibeuse
sur La Page à Papat au format (14 Ko)
Un pastiche des oeuvres de Howard, Moorcock et quelques autres. Un récit viril plein de sang et de fureur (à ne pas prendre au sérieux, bien sûr). Pour sûr, ça ferait un bon scénario, d'ailleurs vous avez de quoi l'adaptez à Warhammer à la fin. Leur seule vue aurait suffit à glacer le sang de n'importe quel guerrier. Il y avait là un ogre, vêtu de la célèbre tenue des mercenaires de Kislev aux couleurs flamboyantes, et bien que ses 2.50m était imposant, il était encore jeune. Il marchait d'un ...Contient : bras (14)(...) Le nain descendit de sa monture, et entreprit de fouiller les cadavres, l'ogre arracha négligemment lebrasd'une créature et commença son quatrième repas de la journée... -'Aucun intérêt !' laissa échapper le nain dans un soupir : 'une bande de gobelin et deux humains, probablement des voyageurs imprudents. Le mieux est d'avertir les gardes ruraux.' L'ogre acquiesça d'un borborygme, arracha unbrasà un gobelin puis ils reprirent leur route. Après quelques heures de marches, ils arrivèrent à l'une de ces auberges-relais qui parsèment les routes de l'Empire. (...)
Tous trois était visiblement corrompus par le chaos, chacun exhibant ses difformités comme autant de trophées : des pattes de boucs, une pince de crabe à la place d'unbras, des yeux pédonculés, une étranges fourrure luisante, des écailles au niveau du cou, tel était leur malédiction : tous différents mais unis à travers leurs corruptions. (...)
Sa carrure imposante, ainsi que sa taille ne pouvait laisser indifférent. Mais ce que l'on remarquait d'abord c'était sesbras: deuxbrasmusculeux, tombant jusqu'au sol, puissamment musclé, recouvert d'écailles d'un vert maladif. Cesbrassemblaient le soutenir. C'est alors que Drumin se rendit compte que le mutant était unijambiste, se servant de sonbrasdroit comme d'une béquille. Il les regarda de son oeil unique puis aboya un ordre bref, en saisissant son épée large de sa main libre. (...)
Grom, fou de rage, para le coup. Puis dans un rugissement terrible, son épée s'abattit et trancha lebrasqui tenait l'épée au niveau du coude. Le cyclope n'avait même pas émit un cri. Il regardait stupidement sonbrasamputé. Puis sautillant en arrière d'une façon grotesque, il tenta d'attraper un pistolet à silex accroché à sa ceinture avec son tentacule. Grom trancha alors lebrasgauche à l'apparence reptilienne. Maintenant à cloche pied, le mutant essayait désespérément de corrigée sa visée pendant ses sautillements. (...)
Maintenant, ils semblaient attendre un ordre, qui leur fut donné lorsque la créature désigna une direction de sonbrasinhumain. Drumin eut un haut le corps, puis déglutit péniblement : 'il va falloir y aller...'dit-il. (...)
Lorsque l'ogre décapita un autre de ces petits chéris, elle entreprit de réciter une invocation indicible. Sesbrasse mouvaient selon un rituel impie oublié depuis des éternités, semblant communier avec des puissances infernales. (...)
Grom, à quelques mètres à peine, éventrait d'un coup d'épée le torse d'un de ses adversaire. Au moment où il envoya la tête d'un autre dans les airs, le sorcier tendit lebrasvers l'ogre, prononçant une dernière syllabe d'une voix rauque. A ce moment, une boule d'énergie lumineuse surgit de la paume du nécromant, fila vers son adversaire, explosant en un éclair d'énergie au niveau de sa poitrine. (...)
' laissa échapper maître Ulmer dans un souffle. Et, il regarda, les deux aventuriers, rentrer dans l'auberge, lesbrasballants... Un scénario ? Vous l'avez peut-être remarqué, les deux héros de cette histoire ont une tête de PJs. (...)