Les Chroniques des Féals : Critique
sur Souffre Jour
Ce que j'en pense... Mathieu Gaborit a voulu, de son propre aveu, faire de ce cycle une synthèse de son œuvre... On retrouve effectivement l'imagination débordante qui le caractérise, mais plus jugulée que dans les Chroniques des Crépusculaires par exemple. Du coup celui qui guette à chaque page l'idée nouvelle qui le surprendra sera sans doute un peu déçu, même si encore une fois Mathieu Gaborit réussit à surprendre les vieux routards des univers imaginaires. On retrouve aussi les enjeux ...Contient : chroniques (3)LesChroniquesdes Féals : Critique Ce que j'en pense... Mathieu Gaborit a voulu, de son propre aveu, faire de ce cycle une synthèse de son oeuvre... On retrouve effectivement l'imagination débordante qui le caractérise, mais plus jugulée que dans lesChroniquesdes Crépusculaires par exemple. Du coup celui qui guette à chaque page l'idée nouvelle qui le surprendra sera sans doute un peu déçu, même si encore une fois Mathieu Gaborit réussit à surprendre les vieux routards des univers imaginaires. (...)
Autre point fort : les ' méchants ' sont bien plus complexes que ceux qu'on trouve généralement dans la littérature anglo-saxonne, et l'on se prend à espérer que cela les sauvera... Côté style, Mathieu Gaborit n'en est clairement plus à ses débuts, et lesChroniquesdes Féals sont d'une lecture agréable et fluide. Le découpage du deuxième tome, partagé entre plusieurs scènes (Januel, le Charogne, la Caladre. (...)