Extraits de Terra Cthulhiana
sur Les Editions sans Détour au format (5.3 Mo)
Contient : pierre (12)(...) ) Il est intéressant que les labyrinthes apparaissent dans de nombreux cercles culturels depuis l'Antiquité, dans les temples funéraires égyptiens d'Amenemhat III, tout comme dans les pyramides des Mayas, ou les dessins rupestres celtes primitifs. En Scandinavie et en Angleterre, on construisit les dénommés « Trojeburgen » ou « mazes » enpierre, qui représentent souvent des labyrinthes ronds et impressionnants. Le labyrinthe est une métaphore ancestrale, décrivant un chemin étant un but à lui-seul, car contrairement à ceux qui furent construits bien plus tard, il n'y avait pas de bifurcations, de fausses pistes ou de cul-de-sac. (...)
Aujourd'hui, ce ne sont que des ruines de pierres, bien qu'il y ait eu également des constructions en bois, surtout, naturellement, avant l'utilisation de lapierre. Le Grand Zimbabwe peut être grossièrement divisé en trois ensembles architecturaux d'environ sept kilomètres carrés au total : le « Hill Complex », complexe de la colline, avec une sorte de temple ; le « Great Enclosure », le grand enclos ; et le « Valley Complex », complexe de la vallée. (...)
Le complexe de la colline, ancien sanctuaire et partie la plus ancienne des ruines, s'élève sur une colline de granit, plateau sur lequel le Grand Zimbabwe se trouve. Des marches depierretout juste assez larges pour laisser passer une personne conduisent à un labyrinthe (...) Irem dans les Mille et Une Nuits : Irem est mentionnée dans trois histoires des Mille et Une Nuits. (...)
Avec Abdul Kasus comme guide, vieil homme ayant beaucoup voyagé, mille chameaux et deux mille chevaliers en armes, il partit. Après un voyage éprouvant de presque deux ans, ils atteignirent leur but, une ville construite enpierrenoire au centre de laquelle se tenaient deux châteaux en laiton espagnol. Ils firent le tour de la ville en deux jours, mais aucun des vingt-cinq portails ne put être ouvert. (...)
Dans le paysage désertique de dunes du désert des Pinacles, sur la Swan Coastal Plain, des centaines de colonnes depierreconiques se dressent vers le ciel, atteignant parfois jusqu'à cinq mètres de haut. Elles ressemblent à des doigts menaçants, à un mémorial pour les dieux, ou à des pierres tombales d'une race disparue et dont l'existence est depuis longtemps oubliée. (...)
De nombreuses régions restent inexplorées et inconnues de l'humanité civilisée ; certaines sont très éloignées, d'autres toutes proches mais dissimulées sous l'eau, la glace ou lapierre, derrière les murs du sommeil et les limites de notre réalité. Brillants sous la lumière pâle de l'étoile polaire, se trouvent les royaumes gelés du pôle nord, une vaste terre inconnue dont personne ne pouvait déchiffrer les secrets glacés. (...)
Les masses impressionnantes de cendres et de poussières abaissèrent la température moyenne pendant plusieurs siècles ; les étés polaires déjà courts disparurent totalement, et les Hommes de l'âge depierreauraient pu passer de la Sibérie en Alaska en gardant les pieds au sec. D'autres esprits effectuant leurs recherches à l'abri des regards affirment en revanche qu'une entité du nom d'Aphoom Zhah, progéniture de Cthugha, serait responsable de cette glaciation. (...)
Sa première mention se retrouve à la fin du XIIe siècle chez Robert de Boron, dans son oeuvre Joseph d'Arimathie, avant que ce thème ne se retrouve dans les écrits de Chrétien de Troyes. Pour ce dernier, le Graal est une coupe d'or sertie d'unepierreprécieuse de grande valeur, dans laquelle on apporte au père du roi pêcheur, dans une procession solennelle, une hostie qui constitue sa seule nourriture. (...)
D'autres représentations du Graal lui attribuent diverses formes. Pour Wolfram von Eschenbach, c'est unepierreou un récipient depierredu nom de « lapis exillis », qui offre aux chevaliers du Graal repas et boisson, entraîne la combustion et la renaissance du phénix, protège par un simple regard de la mort et de l'âge pendant une semaine, et est invisible aux yeux des non baptisés. Sur lapierreapparaissaient les noms des promis du Graal. Dans une autre interprétation, le Graal est une coupe qui, par le hasard divin au temps du roi David, a été cachée des ennemis dans une grotte sous le mont Golgotha. (...)
Des témoins de l'annihilation de villes entières par les « super-armes des dieux » sont également dispersés sur toute la planète : à l'aéroport de Nazca, les personnages trouvent une petitepierreportant des dessins singuliers. Des recherches leur montrent qu'il existe une grande quantité de ces pierres à proximité. (...)Des mondes et des époques où l'histoire est faite de légendes. (...) Le cauchemar d'Innsmouth : Y'ha-nthlei, la ville des Profonds. « De grandes pièces sous-marines apparurent sous mes yeux, et je crus errer à travers des halls de colonnes et labyrinthes titanesques engloutis de murs cyclopéens. [...] [ Je] portais leur parure de bijoux inhumains, empruntais leurs routes aquatiques se trouvant à de grandes profondeurs sous l'eau et récitais de monstrueuses prières dans leurs détestables ...