Extraits de Terra Cthulhiana
sur Les Editions sans Détour au format (5.3 Mo)
Contient : ruines (9)(...) S'il y avait bien jusqu'au milieu du siècle dernier une région idéale pour les « mondes oubliés », les villes enruineset les cultures disparues, c'était l'Amérique Centrale et du Sud. Le continent n'était à l'époque pas encore totalement exploré, loin s'en fallait. (...)
4 Garde-manger. 5 Quartiers de la Reine. 6 Entrées. 7 Grand escalier. (...) Dans le pays de l'or légendaire : Lesruinesdu Grand Zimbabwe. « Le plus étrange à l'intérieur du rondeau était une [...] haute tour, au pied de laquelle cependant aucune entrée n'était visible, en raison des débris accumulés. (...)
» Premier livre des Rois, chapitre 10 (Traduction en français du Chanoine Crampon. Source : bible.catholique.org). Lesruinesdu Grand Zimbabwe. Le Grand Zimbabwe, entouré de pâturages fertiles, se trouve en bordure d'un plateau de granit, qui forme la ligne de partage des eaux entre les fleuves Limpopo et Zambèze. (...)
Cette ville fut probablement quittée au XVe siècle et l'Empire déclina ; les raisons en sont inconnues. Il ne resta que lesruinesqui n'ont jusqu'à ce jour pas révélé leurs secrets. Le Grand Zimbabwe se trouve en Rhodésie, qui actuellement, en l'honneur de cette ancienne civilisation africaine développée, s'appelle également le Zimbabwe. (...)
Il existe deux théories concernant la signification du nom Zimbabwe : la première serait une abréviation de « ziimba remabwe », signifiant dans un dialecte indigène local « la grande maison faite de pierres » ; la deuxième proviendrait de l'expression « dzimba woye » (« maisons honorées »), utilisée la plupart du temps pour les tombes et maisons des chefs de tribu. A son apogée, dix-huit mille âmes environ vivaient dans la ville. Aujourd'hui, ce ne sont que desruinesde pierres, bien qu'il y ait eu également des constructions en bois, surtout, naturellement, avant l'utilisation de la pierre. (...)
Le Grand Zimbabwe peut être grossièrement divisé en trois ensembles architecturaux d'environ sept kilomètres carrés au total : le « Hill Complex », complexe de la colline, avec une sorte de temple ; le « Great Enclosure », le grand enclos ; et le « Valley Complex », complexe de la vallée. Le complexe de la colline, ancien sanctuaire et partie la plus ancienne desruines, s'élève sur une colline de granit, plateau sur lequel le Grand Zimbabwe se trouve. Des marches de pierre tout juste assez larges pour laisser passer une personne conduisent à un labyrinthe (. (...)
» H. P. Lovecraft, La Cité sans Nom (Titre original : The Nameless City), traduit par Yves Rivière.Ruinesmystérieuses dans le Rub-al-Khali, cliché pris d'un avion en 1938. Mythe et histoire : La Cité sans Nom est sans aucun doute l'un de ces lieux mythiques à laquelle il fut fait référence le plus souvent dans les écrits blasphématoires des occultistes fous. Cesruinesbrûlées par le soleil et ses sombres catacombes sont si anciennes qu'elles n'ont jamais eu de nom. (...)
Dans la zone de la plus grande ville d'autrefois des calmars géants, les Yithiens fondèrent Pnakotus, une métropole aux dimensions monstrueuses, dont lesruinessouterraines ont été conservées jusqu'à ce jour et dissimulent toujours les vestiges encore intacts de la culture la plus développée que l'univers connaisse. (...)Des mondes et des époques où l'histoire est faite de légendes. (...) Le cauchemar d'Innsmouth : Y'ha-nthlei, la ville des Profonds. « De grandes pièces sous-marines apparurent sous mes yeux, et je crus errer à travers des halls de colonnes et labyrinthes titanesques engloutis de murs cyclopéens. [...] [ Je] portais leur parure de bijoux inhumains, empruntais leurs routes aquatiques se trouvant à de grandes profondeurs sous l'eau et récitais de monstrueuses prières dans leurs détestables ...