Influence
A l'attention de Sa Majesté la Reine Lycia d'Ambre : Ambre...contrée réelle, monde béni et donné par la Licorne à ses fils et à leurs sujets de bonne volonté. Encore que la volonté de la plèbe ne soit pas de taille face à celle de 'ceux du sang'. La volonté des princes et princesses est notre karma. L'accomplir n'est ni un honneur, ni un plaisir, ni même un sacerdoce, tant nous étions inconscients de cette puissance, de cette influence, comme la mer est inconsciente que ses va-et-vient cycliques ...Contient : nom (10)(...) Elle était avant tout émotionnelle, et j'aime à nous placer en position de prédateurs, vampirisant l'âme de ces malheureux, nous nourrissant de leur Réalité...Mais c'était toujours notre sang qui coulait. Ambre...C'est donc lenomdonné à ce monde que j'habite. Je ne connaissais que 'la Côte', le considéré unique Village des êtres humains. (...)
Je ne savais pas ce qu'était un archange, encore moins ce qu'était la destruction, mais bien que je ne sois pas un homme, je savais qui j'étais. Derek, fils de Bo et Dik. Et je chérissais cenomautant que ceux qui me l'avaient donné, en package avec la vie ! Enfin, il sortit de l'immense paquetage de son dos une lame plus longue et féroce que nos usuels couteaux à poisson et machettes. (...)
J'ignore si Finndo, par souci de diversification encouragea chez l'un de ses hommes la graine de la révolte, en tous les cas, bien que j'aie bien peu de souvenirs de mon apprentissage des armes, je garde celui de mon combat de principe pour conserver un lien avec mon passé, pour que ces gens de la Côte ne soient pas oubliés. Monnom. Derek. Je fus le seul à ne pas être rebaptisé, et par mon Sang merci. J'ai aujourd'hui oublié qui de Kirk, Kerry et Douglas étaient Phobos, Deimos et Titan. Je me souviens dunomde la bête, Io. Je la tuerai, elle comme les autres, même si avec nos pouvoirs grandirent nos individualités, et que je me surpris à aimer ce que sont devenus certains. (...)
Son nez, avant d'être fendu (bon, bon j'arrête) avait la cassure de ces sculptures d'hommes de l'Ombre qui lui a valu sonnom, ses yeux, du temps où il en avait lui aussi deux (pardon), étaient moqueurs uniquement parce qu'ils ne pouvaient refléter d'intelligence. (...)
) ne connaissait que trois expressions : l'obéissance contrie par défaut et quand il ne comprenait pas très bien ce qui se passait, la haine sanguinaire quand il se battait, et enfin ce petit air narquois piquant que mes séances de macrochirurgie inesthétique ont transformé en une seule expression que j'ai baptisée 'le charnier'(pardon, pardon, mais c'est trop bon ! ! !). Voici donc la scène, texto : Deimos : (sens de la question aunomde tous, formulation n'engageant que lui-même) faciès par défaut : Mais, que faisons-nous ici Messire ? (...)
Je me rappelai être passé sur la damoiselle qui se campait l'air décidé devant moi. Fait encore plus remarquable, je me souvins de sonnom. _ ' 'lut Perdita, j'espère que c'était pas à toi...' dis-je en désignant le jeune homme inanimé dont la langue précédemment convoitée léchait la pomme d'Adam. (...)
Je laissais tomber sinistrement dans le même temps que la mandibule appartenant à celui qui aurait désormais du mal (s'il survivait) à articuler sonnom: _' Eh bien l'accouchement a pas dû être difficile, tu devrais me remercier !' _' Qui te dit qu'il est de moi ? (...)
Le plan était simple : créer des désordres écologiques pour attirer l'attention du maître des lieux, un prince d'Ambre dunomde Julian pour laisser la mystérieuse Io (j'ai appris que c'était une femelle) prospecter dans des zones surprotégées par le canevas des Lignées animales et des Piliers végétaux au service de Julian. (...)
Je sais, Majesté, que vous saurez trouver un sens à cette curieuse suite de faits qu'est mon existence. Aunomde ma dernière chopine, ne me le révélez jamais ! C'est pas la fin....