Extrats de Sciences Forensiques & Psychologies Criminelles
sur Les Editions sans Détour au format (4.6 Mo)
Contient : bras (10)(...) Comme un gant : En avril 1935, un requin tigre de 3 m 50 nouvellement arrivé à l'aquarium de Coogee, en Australie, régurgita unbrashumain. Une corde était toujours attachée au poignet du membre tatoué. La veille, le requin avait été attrapé en mer par le propriétaire de l'aquarium. La police examina lebraset comprit rapidement que les incisions au couteau visibles au niveau du coude n'étaient pas l'oeuvre du requin. (...)
Seules deux empreintes furent utilisables, mais après des semaines de recherche parmi leurs fiches cartonnées, les enquêteurs parvinrent à identifier la victime, James Smith, inculpé auparavant pour fraude à l'assurance, trafic de drogue et jeux illégaux. Son frère Edwin reconnut le tatouage de boxers sur lebras. (...) Le corps, témoin silencieux : Déterminer l'heure de la mort On peut déterminer l'heure de la mort grâce à la température corporelle. (...)
La machine n'impose aucune contrainte au sujet, car l'utilisation nécessite au contraire son consentement et sa coopération, dans la mesure où ce dernier doit rester assis tranquillement avec unbrasimmobile. Lorsque l'on nous refuse le droit d'utiliser les résultats de la machine en cour, nous utilisons le (. (...)
D'allure austère, aux cheveux courts d'une blondeur naturelle, c'est une femme d'âge mûr qui a su rester mince grâce au sport. Sesbrassemblent étonnamment musclés en regard de ses mains fines et blanches, toutes en délicatesse. Elle est toujours vêtue d'ensembles de couleurs sombres ou gris. (...)
Vollmer prit ses fonctions à un moment crucial : la police de Berkeley était corrompue et brutale, si inefficace que la violence des gangs de rue à l'ouest de Berkeley avait forcé la Southern Pacific Railroad à abandonner son dépôt local. Au lieu d'embaucher plus de "grosbras", Vollmer dénonça publiquement l'utilisation excessive de la force et de la peine capitale, réclamant plutôt une attaque concentrée sur les racines sociologiques du crime. (...)
" Bête lunaire : "Celui qui l'avait tué, quel qu'il fût, l'avait lentement torturé avant sa mort. Des blessures pénétrantes étaient visibles sur son torse, ainsi que des brûlures sur sesbras. La cheminée près de lui était sans doute la source de ses terribles blessures." Byakhee : "Son corps tordu gisait au beau milieu de la route. (...)
" Ghast : "Le cadavre semblait avoir été battu avec de lourds bâtons puis rongé par des animaux sauvages. De grands morceaux de chair avaient été arrachés de sesbraset de ses flancs. Ce qui lui avait fait ça avait dû venir pendant la nuit." Ghatanothoa : "Son corps ressemblait à une momie millénaire, bien qu'il n'ait pas pu être mort depuis plus de quelques jours. (...)
" Gnoph-Keh : "Le corps était complètement congelé, aussi dur que la glace. Mais le cadavre gelé avait été brisé, l'épaule et lebrasgauche avaient été cassés net et emmenés par la chose dans la neige." Grand Ancien : "Son cadavre était littéralement déchiqueté, bien qu'il n'y ait ni coupures ni perforation. (...)
Guido "Rudy" Valentino : Certains le prétendent de la famille du grand Rudolph, et il en possède certains attributs. Beau et raffiné, c'est lebrasdroit de Torrisi. Mais c'est aussi un individu impitoyable, prêt à tout pour couvrir sa famille. (...)Sciences Forensiques & Psychologies Criminelles par Emily Tibbatts Avec des scénarios de Philippe Auribeau, Tristan Lhomme & Cyril Puig. Prise d'empreintes : Les techniciens de scène de crime photographient et relèvent des empreintes visibles (sanglantes, sur du verre, de la cire ou de la peinture fraîche, etc.). Mais ils cherchent également les empreintes invisibles sur les objets qui pourraient avoir été touchés (armes, interrupteurs, documents, sacs plastique, cartons, canettes ...