Extraits de Londres au XIXème siècle
sur Les Editions sans Détour au format (28.5 Mo)
Contient : receleurs (3)(...) Ces taudis mais aussi parfois les beaux quartiers sont envahis d'individus dont on se méfie, comme les costermongers, les ramoneurs, les mendiants ou les prostitués, et de membres à part entière de la pègre : voleurs à la tire, depuis le famélique gonoph jusqu'à l'élégant swell mobsman, détrousseurs violents tels le redouté garotter, cambrioleurs de tous niveaux,receleurs, faussaires... Le dernier chapitre est consacré à l'Angleterre dans son ensemble. Les environs de la capitale ne manquent pas d'attraits : Greenwich et son observatoire, Woolwich et son arsenal, le Crystal Palace, les palais d'Hampton Court et de Windsor... C'est également le cas du reste du royaume : ses comtés, ses côtes, ses cours d'eau, ses modestes montagnes présentent bien des paysages pittoresques. (...)
Les principaux changements sont évoqués et, le plus souvent, il s'agit d'évolutions plutôt que de révolutions : les taudis, s'ils ne sont plus impénétrables, n'ont rien perdu de leur caractère sordide ; l'élite des pickpockets, moins pimpante mais toujours aussi inventive, a conquis le métropolitain ; les prostituées, contraintes à la discrétion, n'ont en rien disparu, pas plus que ne se sont volatilisés les cambrioleurs, les faussaires, lesreceleurs... Presque tous les profils décrits dans les pages suivantes ont subsisté : ils ont su, simplement, évoluer avec leur temps. (...)
................................. 330 Les cambrioleurs ..................................... 340 Lesreceleurs.......................................... 346 Les faussaires ............................ (...)Préface : Le Londres victorien ne laisse pas indifférent ceux qui le visitent, c'est même tout le contraire : certains le considèrent comme la « Reine des cités », d'autres comme une « Ville monstre » ; Victor Hugo voit en lui la « Babylone noire » et Pierre Larousse, « le premier marché de l'univers ». Contrastées sinon contradictoires, ces opinions n'en sont pas moins toutes fondées, car elles sont le reflet d'une caractéristique frappante de la capitale britannique : elle offre en effet ...