Westeros
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Westeros est le gigantesque continent sur lequel se trouvent les Sept Couronnes. Les évènements météorologiques sont impressionnants et relativement curieux : les étés et les hivers durent parfois plusieurs années et leurs cycles varient fortement d'un passage de saison à l'autre. De même, les hivers peuvent être extrêmement rudes, emportant souvent des milliers de vie avant le dégel. Ainsi, cela fait neuf ans que l'on n'a plus vu l'hiver (à peu près depuis la fin de la rébellion des Greyjoy). On ...Contient : bêtes (4)(...) Les jeunes Dragons aimaient d'ailleurs énormément se battre les uns contre les autres. Les Targaryens passaient un temps fou à entraîner leursbêtes, afin qu'ils ne détruisent partout ce qu'il trouve dans un accès de colère. A la fin de l'entraînement, les Targaryens montaient leurs Dragons et inspiraient la terreur à tous leurs ennemis. (...)
Aucun des Dragons élevés dans la Fosse n'a jamais atteint la taille de leurs ancêtres. Les mestres pensent que c'est à cause des murs et du dôme que lesbêtesn'ont pu grandir correctement. Ils se seraient sentis étouffés par ce manque de liberté. Peyredragon : Les Targaryens et leur suite Valyrienne vécurent pendant deux siècles sur l'île de Peyredragon avant d'entreprendre la conquête de Westeros. (...)
La Guilde des Alchimistes était autrefois puissante, mais elle a été supplantée depuis quelques siècles dans à peu près toutes les matières par les Mestres de la Citadelle. Il est dit que les Maîtres Pyromanciens peuvent invoquer desbêtesconstituées exclusivement de feu qui les serviront sans faillir. Avant le Sac de Port-Réal, des alchimistes avaient, avec l'accord d'Aerys II, placé des charges explosives dans la ville, au cas où celle-ci serait prise. (...)
Le Trône est encore extrêmement acéré et peut tuer un homme s'il s'y assied mal - Un conte laisse d'ailleurs entendre que cela s'est déjà produit -. Dans les chansons, aucun chevalier n'a terrassé debêtesmagiques. Ils chevauchent simplement jusqu'à elles et les touchent, ce qui semble supprimer leur hostilité et leur rendre leur pacifisme. (...)