La Voie des Anonymes
sur Pénombre au format (244 Ko)
Contient : travaux (3)(...) Rien n'interdisait officiellement l'enseignement du Kaze-do et les samurai Akodo furent assez surpris de voir nombre de paysans, parfois très âgés, se livrer tout à coup à un entraînement martial en plus de leurstravauxquotidiens. La caste samurai voyait d'un assez mauvais oeil qu'on empiète ainsi de manière inédite sur ses prérogatives militaires mais l'un dans l'autre, tout le monde était persuadé que (malgré un certain nombre d'anecdotes humiliantes qui eurent lieu partout ou passa l'ise-zumi) les paysans dans leur ensemble ne pouvaient espérer vaincre à mains nues les bushi. (...)
Il n'était pas question bien évidemment d'aller espionner les descendants de Bayushi ou de se mettre à la magie noire qu e les ninja étaient censés pratiquer mais rien n'empêchait les Koga de s'inspirer de leurstravauxpour approfondir leurs propres techniques. Ces recherches furent discrètes et dans l'ensemble très peu productives car les Koga redoutaient d'attirer sur eux l'attention des samurai mais elle leur donnèrent une compréhension plus approfondie du mythe des ninja et des ressemblances que leur propre mission avait avec certains aspects de ce mythe. (...)
Les Koga craignaient la magie noire des Chuda mais se refusaient à les laisser enlever des enfants pour leurs mauditstravaux. Les Koga ne soupçonnèrent jamais la corruption même du Serpent et parvinrent seulement à découvrir que les captifs étaient emmenés dans le nord, vers les terres disputées par ce clan mineur mais également le Phénix, le Lion et le Dragon. (...)Le concept d'AEG : La 'famille' Koga est mentionnée le temps d'un paragraphe dans La Voie du Ninja. Du peu que l'on peut lire sur elle, il s'agit en fait des descendants d'une communauté paysanne qui durant le deuxième siècle massacra un collecteur d'impôts qui abusait de ses prérogatives. Les habitants du petit village de Koga dont AEG ne donne pas la localisation prétendirent que le samurai avait été assassiné par des hommes masqués et on les laissa en paix. Par la suite, ils fondèrent ...