Carthago Delanda est
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Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : citoyens (7)(...) Les Gracques (Tiberius et Cneius Gracchus, tribuns de la plèbe en 133 et 121 AV JC) tentèrent bien de résoudre la crise, en proposant une loi agraire pour limiter l'étendue des latifundia. Les terres récupérées seraient alors distribuées auxcitoyenssans terre. Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat des deux tribuns réformateurs et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébiéiennes extrèmement riches), la classe intermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveaux riches. (...)
Les Gracques (Tiberius et Cneius Gracchus, tribuns de la plèbe en 133 et 121 AV JC) tentèrent bien de résoudre la crise, en proposant une loi agraire pour limiter l'étendue des latifundia. Les terres récupérées seraient alors distribuées auxcitoyenssans terre. Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat de s deux tribuns réformateurs, et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébéiennes extrêmement riches), la classe intermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveaux riches. (...)
Les Gracques (Tiberius et Cneius Gracchus, tribuns de la plèbe en 133 et 121 AV JC) tentèrent bien de résoudre la crise, en proposant une loi agraire pour limiter l'étendue des latifundia. Les terres récupérées seraient alors distribuées auxcitoyenssans terre. Mais ces réformes provoquèrent l'hostilité des grands propriétaires, et déboucha sur l'assassinat des deux tribuns réformateurs, et par l'opposition toujours plus violente entre les populares (ou démocrates) et les optimates (les aristocrates, avec les anciennes familles patriciennes et plusieurs familles plébéiennes extrêmement riches), la classe intermédiaire des chevaliers faisant le va-et-vient de l'une à l'autre au gré de leurs intérêts de nouveaux riches. (...)
Corus Maler : chargé d'enquêter sur les activités d'un marchand grec un peu trop expansif, dénommé Adroclès (qui auraient des sympathies importantes envers les optimates), ainsi que pour enquêter sur de mystérieuses disparitions decitoyensromains en Grèce, et particulièrement sur les côtes du Péloponnèse. Furius : en tant qu'ancien gladiateur, Furius est très intéressé par les Jeux, qu'il désire voir au moins une fois dans sa vie, pour peut être participer à certaines épreuves (course à pied, course en armure, lancer de disque ou de javelot, lutte, pancrace ‘ sorte de boxe et de lutte, saut en longueur). (...)
Bien qu'il effectue des opérations assez illégales (ce qu'il n'avouera jamais, il est receleur de pierres précieuses et de jeunes filles enlevées à leurs parents en Orient, en relation avec Dâdarshi), il n'est pour rien dans la disparition descitoyensromains. D'où sa présence la nuit chez Dâdarshi ou Horodès. Il bénéficie de forts appuis auprès de la noblesse locale (le gouverneur d'Eleusis fait partie de ses amis). (...)
Il n'y a pourtant pas ‘ relativement parlant ‘ un trop grand nombre d'enlèvements (d'après les enquêteurs que les aventuriers pourront envoyer, ou via pigeons voyageurs). Mais ces enlèvements concernent en grande majorité descitoyensromains. Il est fait état dans les cités de l'Attique du redoublement d'activités de pirates et de naufrageurs provenant de la mer Egée, alors que sur le Péloponnèse, c'est quasiment le calme plat (excepté le départ du Conquérant et deux autres navires vers la Crète). (...)
Il y a de fortes chances pour que les aventuriers soient emmenés manu militari au palais du gouverneur de l'île, un tribun du nom d'Honorus Galla, un aristocrate éminent appartenant au parti des populares. Il y a fort peu de chances qu'une arrestation est lieu, surtout visant de noblescitoyensromains. Il leur est demandé toutefois de ne point quitter l'île tant que le mystère ne soit pas éclairci. (...)