Le Septième Chant de Maldoror
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Ce scénario conviendra à un groupe de vieux routards et à un Gardien des arcanes rompu aux subtilités du Mythe de Cthulhu. Les personnages peuvent être créés pour l'occasion, à moins que vous n'ayez envie d'utiliser nos pré-tirés. Les mentions « p.XX » font référence à la version française de la 5e édition des règles de « L'appel de Cthulhu » Par Tristan Lhomme et Anne Vétillard Eté 1969 : Moyennant un ou deux changements, ce scénario peut fonctionner n'importe quand, y compris dans les ...Contient : bras (8)(...) Si les PJ lui font remarquer qu'il n'a qu'à leur communiquer le scénario s'il veut qu'ils fassent un travail correct, il lève lesbrasau ciel, et sort en marmonnant des jurons en allemand. Les avertissements : Les véritables ennuis commencent dès le lendemain. (...)
Il y a une flaque de sang à l'endroit où il se trouvait. Il réapparaît peu après, ailleurs, avec un bébé dans lesbras. La petite Galadriel semble bien se porter... Par gestes, l'individu leur fait comprendre que s'ils se montrent hostiles, elle en pâtira. (...)
Les joueurs s'attendent sans doute à trouver un sorcier classique, bardé de sortilèges et de monstres. Au lieu de ça, il les accueille àbrasouverts. Ne sont-ils pas de la famille? Ne sont-ils pas destinés à être les hérauts d'Hastur lorsque ce dernier reviendra de son exil à Carcosa? (...)
Ce noeud hideux devint, par le temps, de plus en plus immense, tout en acquérant la propriété liquide du mercure, et se ramifia en plusieurs branches, qui se nourrissent, actuellement, en se dévorant elles-mêmes (la naissance est plus grande que la mortalité), toutes les fois que je ne leur jette pas en pâture un bâtard qui vient de naître, et dont la mère désirait la mort, ou unbrasque je vais couper à quelque jeune fille, pendant la nuit, grâce au chloroforme. » - La mort des Krupnick : Extrait du chant IV, strophe III : « Une potence s'élevait sur le sol; à un mètre de celui-ci, était suspendu par les cheveux un homme, dont lesbrasétaient attachés par derrière. Ses jambes avaient été laissées libres, pour accroître ses tortures, et lui faire désirer davantage n'importe quoi de contraire à l'enlacement de sesbras. La peau du front était tellement tendue par le poids de la pendaison, que son visage, condamné par la circonstance à l'absence de l'expression naturelle, ressemblait à la concrétion pierreuse d'un stalagtite. Depuis trois jours, il subissait ce supplice. Il s'écriait: « Qui me dénouera lesbras? qui me dénouera les cheveux? Je me disloque dans des mouvements qui ne font que séparer davantage de ma tête la racine des cheveux; la soif et la faim ne sont pas les causes principales qui m'empêchent de dormir. (...)
(...) Je me dirigeai vers celui qui m'appelait au secours, avec un oeil glacial (car, la perte de son sang était si grande, que la faiblesse l'empêchait de parler, et que mon opinion était, quoique je ne fusse pas médecin, que l'hémorragie s'était déclarée au visage et au bas-ventre), et je coupai ses cheveux avec une paire de ciseaux, après avoir dégagé sesbras. » En cas d'échecs critiques : Comme il est plus amusant (pour vous vil Gardien) d'envoyer sur une fausse piste un PJ ayant fait un échec critique sur un jet de TOC en voici 2 : - Maldoror est un Fampire ! (...)