Les Lettres de Kratis Gron aux orks de Barsaive
sur Mahar : Les Parchemins de l'Archiviste au format (188 Ko)
Contient : ennemi (4)(...) Dans les taudis Throalites de Bethabal, les Orks combattent pour le plaisir de parieurs nains, implorant Tranko comme s'il n'était qu'un dernier tour. Nous avons été brisés et divisés, non par unennemivaleureux, mais par apathie. Nos légions sont tombées, non pas devant les cinq cents poneys des lanciers du roi de Throal, ni devant les quatre mille maîtres d'armes du Quai des Nuages, mais face à la complaisance. (...)
Etes-vous prêts à retirer vos heaumes et voir que celui qui a combattu à vos côtés, qui vous a sauvé la vie, est en fait unennemihéréditaire, un criminel ou un voleur ? Etes-vous prêts à mettre de côtés de telles différences, à étreindre celui que vous aviez juré de tuer la semaine passée, à construire ensemble et pierre après pierre votre maison ? (...)
Certains d'entre nous meurent de soif dans les plaines, d'autres sont capturés et enchaînés dans les montagnes, les derniers chevauchent vers l'ennemiparmi les collines. Cara Fahd est tombée, et pendant onze cent années, nous avons été frappés par le vent, pas comme des guerriers libres, mais comme des enfants perdus, car nous avons oublié l'art de bâtir. (...)
Il ne produit pas non plus une terre de conflit perpétuel, où nous devons toujours combattre pour éviter les flèches de l'ennemi, mais il construit un mur pour nous protéger et garantir notre liberté. Car, le feu de Jrikjrikjrik n'est pas l'ardeur du désir mais la flamme ferme de la conviction. (...)Traduction des 4 lettres de Kratis Gron inspirées par les passions, pour réveiller la flamme des orks de barsaive. Aux Orks de Barsaive, Je suis un troubadour, et je vais vous conter une histoire. Bien que vous l'ayez entendu de nombreuses fois depuis votre naissance, je ne pense pas que vous connaissiez cette version. Essayez d'être patient, bien que ce conte puisse vous sembler étrange et, parfois, familier. « Il y a fort longtemps, dans des temps oubliés de l'Histoire, vivaient au centre ...