Organisation : Les Psycholunes
sur Souffre Jour au format (3.3 Mo)
Contient : enfant (4)(...) En particulier, elle brûlait du désir de découvrir l'un d'entre eux, responsable du Jour et de la Lumière, unenfantinnocent et pourtant plein de sagesse, un être radieux et pourtant infiniment triste et blessé. (...)
Grâce à la magie du Pollen, le Souffre-Jour resta toujours secret, et tandis que des psycholunes se succédaient au chevet de l'enfantsolaire, la plupart des membres de cette confrérie ignoraient la nature du Collège mais prodiguaient leurs talents à travers les Royaumes Crépusculaires, soignant les esprits troublés tout en perpétuant une Tradition occulte liée à l'existence de Diurne, une Tradition confuse, mêlant les anciennes vérités aux mensonges répandus pendant la lutte entre Armador et Luciel. (...)
Les meilleurs d'entre eux, ceux qui se révélaient capables de comprendre et d'aimer un tel Principal, étaient contactés par nos soins et venaient nous rejoindre au chevet de l'EnfantDiurne. Les autres pratiquaient notre art auprès des mortels, sans rien connaître de la vérité du Collège du Souffre-Jour. (...)
Et je dus faire semblant de ne rien avoir compris du stratagème de Lerschwin. Mes larmes furent pourtant sincères lorsque l'Enfants'éteignit, mais il m'avait ordonné de laisser ce crime se perpétrer. Oui, bien que je ne fis que respecter la volonté des Eternels, ma haine à l'égard d'Agone fut véritable. (...)Une Histoire des psycholunes : Les origines : " En 1050, une jeune Itinérante de Préceptorale, Héliame de Douceîruine, visite une chapelle de son domaine familial, le petit fief de son père, le Vicaire Oldrof-le- Vieil. Une superstition locale veut que dans cette chapelle, à midi au plein coeur de l'été, quiconque se regarde dans un miroir cerclé d'ivoire placé entre deux bougie y voit apparaître l'âme soeur qui lui est destinée. Héliame, maudissant son tempérament romantique ...