Organisation : Les Psycholunes
sur Souffre Jour au format (3.3 Mo)
Contient : peau (4)(...) Sous diverses formes : une illustration qui prend vie, un signet serpentiforme qui s'anime, une tache d'encre jamais sèche qui marque les doigts du lecteur et se développe sur sapeauen une forme inquiétante, etc. Dès qu'ils le peuvent , ils se jettent sur leur victime et s'insinuent soit dans son Corps (s'ils sont physiques) soit dans son Ame (s'ils sont fantomatiques) occasionnant le gain d'un point d'aspect noir. (...)
La mise en contact d'une plaie avec les brûlures d'une victime de la maladie peut générer une contamination, mais ce cas de figure est assez rare mais bien qu'il semble issu du venin des Trouble-Tête, le Maljour est bien une maladie. Le Maljour : Virulence : 20. Périodicité : 15 jours. Rareté : 22. A 5 points de gravité, lapeaudu malade se couvre de plaques rouges, brûlantes et douloureuses, assez semblables à des " coups de soleil " qui ne guérissent pas. (...)
Elle n'a pas la rigidité cadavérique d'une goule mais ses ongles sont devenus des griffes noires et ses dents sont acérées. Sapeauest intégralement blanche, comme si le soleil n'avait pas le moindre effet sur son teint et même plus encore : sapeauest bel et bien de " couleur blanche ", comme la neige la plus pure. Elle arbore plusieurs scarifications solaires (cf. (...)Une Histoire des psycholunes : Les origines : " En 1050, une jeune Itinérante de Préceptorale, Héliame de Douceîruine, visite une chapelle de son domaine familial, le petit fief de son père, le Vicaire Oldrof-le- Vieil. Une superstition locale veut que dans cette chapelle, à midi au plein coeur de l'été, quiconque se regarde dans un miroir cerclé d'ivoire placé entre deux bougie y voit apparaître l'âme soeur qui lui est destinée. Héliame, maudissant son tempérament romantique ...