Le Cénacle des Immortels
sur Souffre Jour au format (1.1 Mo)
Seuls les profils des personnages importants sont exposés dans le corps de texte. Les autres sont assimilés à des profils classiques tels qu'on peut les trouver dans les Cahiers Gris, ou dans les différents archétypes présentés dans la gamme officielle Agone, le jeu de rôle d'Heroic Fantasy dans les Royaumes Crépusculaires. GESTE. « La Flamboyance... Ainsi nommée de par l'époustouflante civilisation humaine qui s'épanouît alors en chaque point de l'Harmonde, elle n'en compta pas moins ...Contient : enfant (15)(...) Même en l'Ennemi, nous avons à apprendre, et c'est en se battant avec ses armes, et non notre orgueil d'enfantélu, que nous en viendrons à bout. Abandonnons là ce débat houleux et reprenons plutôt notre propos. (...)
Tous les autres avaient laissé place à de pâles silhouettes mortes de bois noir. L'arbre de ce malheureux rescapé, un jeuneenfantnommé Alinoa Bissin, grandit, toujours plus haut, jusqu'à tendre ses branches griffues et dépouillées de feuilles au-dessus de tous les autres arbres de la forêt. (...)
On y trouve de nombreuses résidences et études de notables, ainsi que divers négociants en bijoux et autres objets précieux. C'est aussi là que se trouve la plus belle auberge de Torrentielle, « L'enfantdes Eaux », toute de marbre et de stuc, où descendent diplomates et négociants en visite. L'eau des canaux sort ensuite des murs de la ville pour s'enfoncer dans le Gouffre, autour duquel s'organise le quartier éponyme, dernier des trois de la ville. (...)
Quelques mois plus tard, les parents de Rubanne mouraient, emportés par une crue jusque dans le Gouffre, et l'enfantse retrouva, riche héritière, seule avec Ormère dans sa grande demeure de la Petite Abyme. Son mutisme ne fit que grandir, n'étant visitée que par Armandin, lequel désirait venir en aide à l'enfantde ses amis disparus. Leur amitié alla grandissant, et Rubanne finît par reprendre goût à la vie. (...)
Une ombre plane sur son abri secret, à tel point qu'elle n'ose plus s'y rendre, de peur d'y conduire ceux qui le convoitent. Ce qu'elle veut : Rubanne est aujourd'hui l'étrange union d'une future noble et d'uneenfantapeurée. Elle cherche à satisfaire Armandin, sans pourtant désirer s'ouvrir à lui. Elle ne parvient pas à lui accorder la confiance qui doit régner entre deux époux, et qu'ils partageaient jusqu'à récemment. (...)
Elle a partagé beaucoup avec Floret, mais celui-ci n'en reste pas moins un Terne, incapable de l'éveiller à l'Inspiration, et ne sachant lui enseigner la Geste ou l'Harmonie, pourtant omniprésentes dans les longs corridors en ruines des vestiges flamboyants. Ormère : « Monenfant, écoute bien les enseignements de ton seigneur. Tu n'imagines pas tout ce qu'il peut t'offrir ! (...)
Lui qui se joue de ses propres sentiments en se donnant les rôles d'amoureux rejeté ! Le virtuose saisonin se transforme néanmoins en un véritableenfantdans les bras de sa protégée, une humaine à la beauté somptueuse. Elle se fait en ce moment nommer Sibylline, mais sera peut-être bientôt Eyhidiaze ou Sénéca. (...)
Je sais qu'il convoite Sibylline ; je le lis dans ses yeux hagards, lorsqu'il voit leurs ombres s'enlacer derrière le rideau. Cetenfantdu Nord joue bien mieux les roturiers que moi, mais ses talents ont de lui bien plus qu'un chaumier. (...)
Je ne me vêts rarement plus que cela, ne m'affublant d'une cape chaude qu'en cas de grand froid. En revanche, comme les honneurs militaires sur la robe d'été d'uneenfant, pends à mon côté, prolongeant un lourd baudrier de cuir noir, le fourreau de mon père chargé de sa rapière, corpulente et sensuelle. (...)
Je me nommais alors Almorièse, et j'ouvrais mes yeux d'homme sur les cendres fumantes d'Emelgance ravagée par les Liturges. Ma mère avait évidemment épousé celui qu'elle pensait être le père de sonenfant, un richissime bourgeois de Rahndrame. Celui-ci convoitait le pouvoir, et ne rêvait que d'acquérir un jour des lettres de noblesse. Il m'éduqua en parfaitenfantnoble, et m'offrit ce qu'il y avait de plus beau... Mon père collectionnait les armes, particulièrement les rapières anciennes, qu'il jugeait le symbole d'un noble héritage. (...)
Sous ses airs de brute sans esprit se cache une âme rongée par la jalousie. Sa force ne lui servirait même pas à tirer unenfanthors de l'eau, tant il méprise son corps. Quel gâchis de convoiter avec tant de véhémence ce qu'ont les autres, sans se satisfaire ni profiter de ce que la nature vous a offert ! (...)
Mon nez trop cassé, de façon presque caricaturale depuis cette chute du toit, alors que je n'étais qu'enfantet déjà chaumier, comme mon père ; mon front trop profond, encadré de cheveux trop blonds et trop raides, comme si mon métier s'inscrivait dans ma tignasse céréalière... Ma bouche me vient de ma mère, mince, fine et délicate ; trop petite. (...)
Mais qui sait de quoi est capable un satyre cocu ? Mor Kham est un individu dont la nature m'échappe.Enfantdes Ténèbres, il l'a reniée et la combat ardemment. Fils de l'Eté, il a su délaisser la gloire et la fierté de sa Saison pour jouer les pantins maléfiques dans les farces de Villiamo. (...)