Enfants d'Homkivart
sur Souffre Jour au format (526 Ko)
Ce scénario, construit comme une enquête policière, va conduire vos Inspirés sur la piste d'un assassin aux motivations complexes. Il ne requiert pas une connaissance très poussée de l'univers d'Agone, mais il serait cependant souhaitable que le maître du jeu - l'Eminence Grise - ait lu le Codex des Minotaures. La trame du scénario est assez simple : les Inspirés n'ont qu'à remonter les diverses pistes pour arriver à débusquer le coupable. Ils seront probablement grandement aidés par la magie ...Contient : second (3)(...) Portant toujours le deuil de d'Engrilame, elle a cependant commencé à réapprendre à vivre avec la révélation de sa Flamme par Cornes Cendrées. Devenu unsecondpère pour elle, le vieux minotaure est, avec sa fille Onirine, sa seule famille et son plus sûr soutien dans la vie. (...)
Son père ne paya jamais la rançon, et, encombré par cette prisonnière devenue inutile, les brigands urguemands risquaient à tout instant de s'en débarrasser - ou de faire d'elle l'une de leur filles de joie... Casserea échappa à ces sombres destinées en attirant l'attention de l'un de ces hommes, leseconddu chef des brigands. La simple attirance se mua en amour réciproque et Casserea, à 18 ans, devint l'épouse de l'un de ceux qu'elle prenait pour des brigands mais qui étaient, en réalité, des soldats urguemands régulièrement envoyés en Province liturgique pour des raids semblables à celui qui l'avait prise pour cible. (...)
Aujourd'hui, Talerone gagne sa vie comme sergent de la garde de la Tombe, un titre qui fait de lui lesecondd'Albertus Strongus en ce qui concerne la sécurité du quartier de fer. Le poste semble d'importance mais en réalité, à part deux crimes crapuleux et inexpliqués (deux minotaures assassinés dans des circonstances mystérieuses, sans doute un crime perpétré par un démon évadé des Abysses et qui aujourd'hui doit avoir fuit la Tombe, selon Strongus) dont son supérieur n'a même pas voulu lui expliquer correctement la teneur, il ne se passe, ici, jamais rien (en dehors des bagarres d'ivrognes...). (...)