Le Projet Icare
sur Le Cyberespace de Jérôme Darmont au format (127 Ko)
PROLOGUE : Où le lecteur prend connaissance des évènements antérieurs... 1870, quelque part au-dessus des Alpes. Un aéro-paquebot bavarois s'écrase dans la montagne à cause d'une erreur de pilotage. Une patrouille française arrive peu après sur les lieux pour secourir d'éventuels survivants... et récupérer le mystérieux moteur thaumaturgique de l'appareil. 1872, Paris. Après deux ans de recherches dans le plus grand secret, les savants français réussissent à percer le secret du fonctionnement ...Contient : plans (3)(...) Cependant les documents présentant leurs résultats (surnommés « projet Icare ») sont dérobés par un homme au service des seigneurs de la vapeur britanniques. Il est lui-même abattu par des agents prussiens mais ceux-ci ne peuvent mettre la main sur lesplans, soigneusement cachés dans un endroit inconnu de tous... CHAPITRE 1 : Où nos héros mettent le doigt dans l'engrenage... Les Personnages se trouvent à Paris au début de l'année 1872, lorsqu'ils sont invités à déjeuner dans son hôtel particulier par sir Burton Burnell. (...)
Le plus dur restera cependant à faire : il faudra que les Personnages s'introduisent à l'intérieur d'un camp militaire bien gardé puis pénètrent dans le complexe souterrain où se trouve le centre de recherches où vont être étudié lesplansdu projet Icare. A eux d'élaborer une stratégie pour parvenir à leurs fins, mais ils devraient pouvoir profiter des nombreuses allées et venues entre le camp et l'extérieur pour s'y introduire... Les lieux se présentent ainsi : seuls deux accès permettent de pénétrer dans le camp, par la route et par une voie de chemin de fer. (...)
Il est évident que la Prusse se lancera dans la construction à très grande échelle d'aéro-cuirassés et que dès lors peu de choses pourront arrêter les projets de Bismark : la guerre embrasera toute la Nouvelle-Europe dans un avenir proche ! BAVIERE : Si les Bavarois reçoivent lesplans, ils s'empresseront de les détruire et resteront pour un temps encore les seuls maîtres du ciel. (...)