Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises
sur Terres Mythiques
Contient : soleil (2)(...) Une aimable légende prétend que la déesse Amaterasu, irritée contre sa descendance et s'étant retirée dans une grotte pour y bouder tout à son aise, n'avait consenti à quitter son refuge et à rendre aux hommes l'éclat dusoleilqu'à l'appel d'un coq obstiné à chanter du haut de son perchoir ... qui fut le premier torii. Un autre élément décoratif de l'enceinte religieuse est une grosse corde de paille tressée, souvent ornée de pompons, eux aussi en paille, et qu'il convient de ne pas franchir si l'on n'a pas rempli certaines conditions, notamment de purification ou d'éviction des nombreux tabous qui frappent indifféremment hommes ou femmes - encore que les femmes soient plus fréquemment impures quel les hommes. (...)
Les paysannes portaient quant à elles un costume qui n'a que très peu changé si on le compare au costume japonais traditionnel d'aujourd'hui : un kimono dont les pans sont croisés et retenus à la taille par une ceinture ; parfois quand il y avait lieu de protéger le kimono, on enfilait une sort de jupe que l'on fixait à la ceinture. Pour travailler aux champs, homme et femmes, lorsque lesoleilétait ardent, réduisaient au maximum leur costume et travaillaient torse nu. Par contre dans une société aussi sévèrement hiérarchisée, les costume des nobles ou des fonctionnaires témoignaient d'une recherche et d'un raffinement autrement complexes. (...)Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur le kimono des vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi les japonais ...