Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises
sur Terres Mythiques
Contient : samouraïs (9)(...) Il est très impoli de marcher sur l'épée de quelqu'un au lieu de la contourner ou de la toucher sans la permission de son propriétaire. Lessamouraïsdont les fourreaux se touchent par hasard dans les rues encombrées d'une ville dégainent souvent immédiatement et tentent de s'entre-tuer pour effacer l'insulte. (...)
On les montre par la suite à leurs partisans ou à leurs proches pour les convaincre qu'ils sont bien morts. Cette coutume impose auxsamouraïsde prendre un soin tout particulier de leur tête avant une bataille. Ils parfument leurs cheveux avec de l'encens, noircissent leurs dents ou les brossent soigneusement pour s'assurer qu'elles seront blanches et pas jaunes. Beaucoup de jeunessamouraïs, craignant qu'après leur mort on ne con f onde leur tête avec celle d'une femme, se laissent pousser la moustache. (...)
Trois ans passèrent et sa tête revint". Voyager : Tous les japonais se déplacent à pied. Seuls les nobles et lessamouraïsen mission officielle ont le droit de chevaucher sur les routes. Le palanquin est une autre solution, plus rapide et le voyageur est alors porté de relais en relais. (...)
Lorsque passe le cortège d'un seigneur, les roturiers se prosternent dans la poussière. Leur tête doit toucher le sol. Lessamouraïsdoivent montrer la même déférence envers la suite d'un noble. En fait, même les chefs de clan les plus puissants sont encore d'un rang inférieur aux nobles impériaux et doivent s'agenouiller quand l'un d'eux se déplace (en revanche, les nobles sont souvent beaucoup plus pauvres que les seigneurs. (...)
Les lois et codifications somptuaires : Les lois somptuaires des Tokugawa couvraient à peu près n'importe quel type de dépense. Lessamouraïsn'avaient pas le droit de porter de soie violette sans la permission de leur seigneur. Les roturiers n'avaient pas droit du tout à la soie. (...)
Les femmes ne sont pas autorisées à en sortir à moins d'avoir l'autorisation du propriétaire de leur contrat. Lessamouraïsqui pénètrent dans ce quartier doivent laisser leurs épées aux gardes de l'entrée. Cette mesure est destinée à les empêcher de se battre pour une femme. (...)
Les invités attendent sous le portique, ils profitent de ce moment pour établir l'ordre d'entrée. LesSamouraïsdéposeront leurs sabres sur le râtelier situé à l'extérieur, près de la porte. Après avoir franchi le seuil ils salueront le Tokonoma. (...)
Le théâtre est aussi très apprécié, surtout le Nô, qui est fréquenté par les lettrés. le théâtre Kabuki est apparu en 1603, il est très populaire mais pas du tout du goût desSamouraïs. L'acteur occupe le rang le plus bas de la société japonaise. Un théâtre Nô est souvent construit dans la cour des temples, il a toujours les mêmes formes. (...)Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur le kimono des vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi les japonais ...