L'Épée De Sang - 3ème Partie : Périples !
sur Terres Mythiques
BIENVENUE EN DEWA : Quittant Echigo par la route mineure longeant la côte ouest, les disciples d'Ozaki entrent dans la province de Dewa tout en sachant que ces deux provinces sont ennemies l'une de l'autre. Par conséquent arrivés au poste frontalier, il s'offre plusieurs solutions aux joueurs : S'ils sont accompagnés par des soldats du Daimyo d'Echigo ils peuvent essayer de contourner le poste (jet sur INT pour l'ensemble du groupe - jdp d'INT des soldats d'Echigo=2). S'ils ratent voir 3 ...Contient : samouraïs (4)(...) La scène qui se déroule sur la place du village aurait de quoi retourner l'estomac du plus aguerri dessamouraïs: des dizaines de Bakemono dégustent les corps à moitié massacrés des villageois! Tous les cadavres ont été apportés à cet endroit. (...)
Une nouvelle bataille va donc avoir lieu, mais vu le nombre écrasant des renforts l'issue ne fait plus aucun doute. Voici donc les forces en présence:Samouraïsde Dewa + Pj: 500 Maraudeurs: 50 Ne pas oublier les diverses modifications de bataille. Après une lutte féroce, jusqu'à extermination totale des Bakemono, Kuroshi, le chef de l'armée libératrice tient aux aventuriers (rescapés et éclopés) à peu près ce langage : '- Ronin, je suis heureux de rencontrer des hommes tels que vous ! (...)
Et devant ce résultat, plus aucun de ces ignobles Bakemono n'osera s'aventurer dans la province de Dewa, ils resteront terrés dans leurs montagnes jusqu'à la fin des temps.' La rage du Kuroshi vient de s'exprimer. A la suite de cette déclaration, lessamouraïsde Dewa s'élancent, un cri de guerre aux lèvres. Tiens, encore une baston! (quand on aime on ne compte pas). (...)
Pestant et traitant Smashai de tous les noms d'oiseaux qui figurent à son répertoire, Kuroshi décide de poursuivre les pleutres par la route qui mène à Akita en traversant les bois. Les quelquessamouraïsà cheval dont il dispose partent en éclaireurs. La poursuite finale commence. Après quelques jours de marche ils rejoignent les éclaireurs, dont ils n'avaient plus de nouvelles. (...)