Ciel et Terre
sur Chaodisiaque au format
Le maître du vent. Je m'appelle Ciel Noir. Je ne suis qu'un homme. Le sang qui coule dans mes veines n'est pas celui des dieux, ni celui des dragons, il me permet juste d'animer ce corps, de pousser cette charrue qui creuse son sillon pour m'offrir de quoi me faire vivre, de parler, et parfois, faire naître un sourire sur le visage de ma femme. Ce village est petit, si petit qu'il ne porte pas de nom, à peine une centaine de paysans l'animent, survivant avec moi, leurs âmes revêtues ...Contient : servante(...) Aewyll disparaît, s'en va douloureusement, avec la même douleur que celle de Mahe. - Qu'était-ce ? Je crie toujours. - Aewyll, maservante... - Non ce qu'elle faisait... ce qu'elle était ! - Du calme, mon ami, du calme ! C'est sa nature, tu as simplement vu, ce qu'elle reflétait de toi ce que tu connaissais de mieux en matière de femme. (...)