Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : époux (3)(...) Flattée par tant d'amour, mais incapable de décider qui de Alaeddine l'al-kimiyat ou de Lakhdar le Mudjahid, elle voulait épouser, Yasmina leur lança un défi : celui qui lui construirait la plus belle ville en lieu et place de l'oasis deviendrait sonépoux. Chacun redoubla alors d'effort pour trouver les artisans, les architectes et les ouvriers nécessaires à leur projet. (...)
Une sensation de froid dans le dos les annonce, et une odeur de cadavre leur succède toujours, à tel point que chaque recoin des palais, et bien souvent de la médina, est parcouru de courants d'airs morbides et de parfums d'outretombe. Ces mortes n'interagissent pas entre elles, ni avec les autres vivants que leursépouxà moins que ce ne soit une stricte nécessité. Même avec le mage qui les a sacrifiées, et qu'elles aimaient (le plus souvent) elles ne parlent que rarement, comme si elles étaient condamnées à le hanter mais limitées dans les possibilités d'actions. (...)
Il lui suffit d'en faire le choix (à moins qu'AlRawi ait décidé de garder secrète l'existence du Shaytan, auquel cas c'est à lui de gérer le transfert des points vers le spectre) à chaque fois qu'il lance un sort. Celle-ci développe ainsi son propre Shaytan, amoindrissant la hantise de sonépoux. Cinquième Parole : Lorsqu'il désire interroger Ourim et Tourim, le mage peut décider, plutôt que de dépenser un point d'Héroïsme, de faire gagner 1D6 PA au Shaytan de son épouse. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...