Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : hiérarchie (2)(...) Composée à seulement cinquante pour cent de Saabi, la compagnie regroupe des Escartes, des Krek kaos, des Agalanthéens, des Shiradim et des Alfariqani sans distinction d'origines dans sahiérarchieet son fonctionnement. L'école des gardiens des gouffres : Cette partie de la ville est ce qui ressemble le plus à une cité saabi gouvernée par une noblesse d'arme. (...)
Ses nobles mages portent tous d'égale façon le grimoire et le sabre. Le conseil des sages de cette école opère une autorité stricte de gouvernance et d'imposition. Lahiérarchiede l'école se reporte sur la ville : les conseillers règnent tels des rois, en dessous d'eux les prêtres-enseignants sont autant de princes et de ministres auxquels obéissent les élèves tels les nobles cadets d'une école militaire. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...