Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : rempart (4)(...) Il devint le plus fervent chasseur d'hommes scorpions, le plus habile des diplomates au contact des djinns, le plus courageux des éclaireurs du désert des gouffres. Formé à l'école de Jidar al'iblis, lerempartdes diables, il devint l'un des plus grands protecteurs de Yasminabad face aux créatures de l'inconnu... sans nul doute, son courage lui vient du fait qu'il n'a plus rien à perdre. (...)
Suite à ce sacrifice, les spectres de leurs épouses reviennent les hanter à jamais, leur servant de conseillères sibyllines. Lerempartdu temple : Servant derempartà la médina, le temple est une enceinte triangulaire composée de bâtiments identiques se succédant de loin en loin. Ses murs hauts et épais, ses dômes de plomb et de cuivre, le protègent des dangers de la rue comme de ceux, plus importants, du désert. (...)
Cette partie de la ville est habitée par une population hétérogène : ouvriers en tout genre, soldats, aventuriers à la retraite, marchands riches ou désoeuvrés, nobles fortunés ou non, etc. Le comptoir agalanthéen A deux pas durempartsud se trouve un quartier appelé comptoir agalanthéen. Bien entendu, la nation agalantéenne ayant sombré depuis des siècles, nul ici ne se dit Agalanthéen ; on y est Thérémois, Nérektionien, Ouranopolite, Thalassakalien, etc. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...