Le Sabre et le Goupillon
sur La Cour d'Obéron au format (193 Ko)
Contient : allemands (10)(...) Un accord est scellé entre les deux hommes: le colonel et le prêtre s'entraideront afin de retrouver Hélène, et des épousailles en bonne et due forme auront lieu. Juillet 1916 : Langrois tombe aux mains desallemands. Il n'est plus possible de s'y rendre depuis la zone controlée par l'armée française. La plupart des habitants, dont Chamelot fuient, mais pas trace d'Hélène. (...)
Hélène est devenue fille de ferme, dans une des rares exploitations encore actives à Langrois, qui ravitaillent lesallemands. Les bonnes habitudes ne se perdant pas, elle est considérée comme « le rejeton de Marie-couche-toila », on l'exploite, on la marginalise et on ne manque aucune occasion de l'humilier. (...)
Une boucherie infâme au cours de laquelle près de 10 000 hommes perdront la vie. Pour atteindre Langrois, les français doivent d'abord prendre une colline tenue par lesallemands. Cette colline constitue une défense naturelle très favorable auxallemands, et les français tombent par milliers. Derrière cette colline, dans les bois, se trouve la Chapelle Ste Sévère. (...)
Ils sont toujours la, mais ne fréquentent plus le village, et restent dans leur hameau, à l'écart. D'ailleurs, ils auraient même desallemandsavec eux, ouvriers agricoles. Les « fermes des boches » existent toujours, ce sont 5 ferme formant un hameau à l'écart du village: Noircieux. (...)
Les « fermes des boches »; hameau de Noircieux : Un hameau constitué de 5 fermes à l'écart du village où les paysans ont collaboré, en fournissant des vivres auxallemandslorsqu'ils tenaient Langrois. Aujourd'hui ils sont bien entendu marginalisés. C'est dans une de ces fermes que travaille Jürgen. (...)
· A propos de la fille retrouvée à la libération: elle s'appelle Hélène Taillandier et a travaillé ici pendant une partie de la guerre, · si les pjs le demandent, oui c'est l'orpheline dont s'est occupée le père Chamelot, elle avait fuit lesallemandsquand ils ont envahi Charleville-Mézière ou elle était en pension. · Fille de fille-mère: « on a été bien bon de l'accueillir et de lui offrir un poste de fille de ferme logé et nourri ! (...)
Ils se sont disputé violemment et Hélène s'est réfugié au hameau de Noircieux. Quelques temps plus tard Langrois est tombé aux mains desallemandset ils ont fait connaissance. Hélène et tombé enceinte de Jürgen en septembre 1916 : La Butte Rouge, ou colline de Langrois. (...)
Cette carte est destinée à l'état major. Même sans être un fin tacticien on voit qu'à l'évidence Langrois était très bien défendu par lesallemands, et que sa libération non seulement ne sert à rien, mais provoque forcément un massacre. N'importe quel soldat, même les pjs peuvent voir que d'après cette carte, la bataille de Langrois n'aurait pas du avoir lieu. (...)
Soeur Léontine a fui le couvent Ste Radégonde des Bois ou elle était enseignante, d'Hélène entre autre, lorsque lesallemandssont arrivés. Elle s'est engagée comme infirmière à la Croix Rouge. Elle a revu Hélène ici par hasard. (...)Scénario utilisant les règles de l'Appel de Chtulhu et se déroulant en France en 1923. Chronologie des événements : Juin 1897 : Marie Taillandier accouche d'Hélène, seule, dans la sacristie de la Chapelle Ste Sévère, petite chapelle perdue au milieu des bois sur la commune de Langrois, en Champagne, quelque part entre Laon et Reims. Le curé du village, le père Chamelot, n'a rien pu faire pour éviter que les villageois bien-pensant ne jettent l'opprobre sur cette fille-mère. Personne ne ...