Mimosaville
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Contient : matraque (4)(...) Alors qu'il attache sa ceinture, on voit dans le rétroviseur une silhouette massive vêtue de beige se redresser à l'arrière du véhicule. Le conducteur semble s'en apercevoir et se retourne. Il reçoit un violent coup dematraquesur la tempe puis on observe de l'extérieur la voiture se balancer de tous les côtés, les vitres se recouvrant peu à peu de sang. (...)
L'étudiant restant décide donc de laisser tomber les deux tonneaux de bière et de partir en courant. C'est alors que le shérif se relève et lance samatraquequi va se planter dans le dos du fuyard. Alors qu'il décide de s'approcher du corps, Ralph surgit de nulle part en pointant un pistolet sur lui. (...)
» Elle est en effet poursuivie par le shériff, les vêtements couverts de sang. Il tient à a main unematraqueelle aussi ensanglantée. Au moment où il la lève pour frapper une victime au hasard, un rayon de lumière reflété par la boule disco qui tourne au plafond vient le toucher aux yeux. (...)
Compétences : Se maquiller avec une truelle (5), « La loi, c'est lui » (5), Taper à grands coups dematraque(4), Pousser de grands hurlements de douleur (3), langage sourd-muet (2). L'HOSPICE DE LA PEUR OU LA NUIT TOUS LES CHEVEUX SONT GRIS : NOTRE AVIS : Datant de 1993, ce film a longtemps été assimilé (à tort) à un film de zombies. (...)L'HISTOIRE DE LA SAGA : La saga Mimosaville débute en 1953 avec Un monstre dans la ville, dans une tranquille bourgade américaine située à une centaine de kilomètres de Sodaville. Cette bourgade sans histoire se retrouve attaquée par un monstre un peu radioactif et pas très beau à voir. Lors de sa sortie, le film passe dans un premier temps inaperçu. En effet, il n'apporte pas grand-chose au genre naissant du « film-qui-fait-peur ». Pourtant, assez rapidement, la bouche-à-oreille ...