La triste troupe
sur Eastenwest
Contient : charge (4)(...) Ils ne sont pas mécontents de ce caprice des dragons, car à supposer qu'ils aient miraculeusement survécu à lacharge, ils n'auraient de toute façon certainement pas été payés. Néanmoins, les temps sont rudes pour ces mercenaires jetés loin de tout conflit. (...)
Quelques vêtures de lin et autres couvertures viennent compléter l'ensemble de son baluchon. Préciser tout de même qu'en tant que chef c'est lui qui a lachargeet le privilège de veiller sur le butin commun : une myriade de larmes d'Ashanis. Antolme les a cachées dans le fond d'une de ses outres, et il y en a au bas mot pour cent sols dans cette peau de chèvre. (...)
Il s'occupe en outre de la majorité des effets d'Ygnothia, ce qui restreint considérablement sa capacité decharge. ' Georg, le tortionnaire à la peluche ' Jeune trentenaire, Georg ne compte pas moins de quinze ans de guerre. (...)
- Envoûtement: Cauchemars sans fin, (Nécropole) R-8 r8 , Portée Toucher, Durée Illimitée, Cible Relique, JR Aucun - Animation d'un épouvantail (Nécropole) R-11 r var, Portée E1, Durée Permanent, Cible Un épouvantail, JR Aucun Possessions : De la cantinière dont elle a appris le métier dans les nombreux campements mercenaires, Ygnothia a hérité un grand nombre d'ustensiles de cuisine et d'une charrette. La charrette n'est plus qu'un lointain souvenir, et c'est maintenant Regnal qui a lachargede porter les cuivres. En décédant d'une crise cardiaque nocturne, la vieille Sulaine a aussi légué sa garde-robe à celle qu'elle considérait comme sa protégée. (...)Plus vicieux qu'une horde de groins, plus torves et mieux entraînés qu'un groupe de bandits de grands chemins, avec encore moins d'honneur que des voleurs et plus de haine que des parias, ils hantent les campagnes en marge de ces conflits trop nombreux qui les embauchent et les débauchent aux grés des besoins. Déserteurs, impayés ou mécontents, les mercenaires se payent sur l'habitant. Ils pillent, violent, torturent et tuent pour le plaisir puis, lorsqu'il ne reste plus que l'ennui, par désœuvrement ...