Les Yeux du Turul
sur Eastenwest
Contient : farine (3)(...) Les sanglots se mêlent à ses aveux et, conscient d'être démasqué, il indiquera où sont cachés les pierres : au beau milieu d'un tas defarinedans son échoppe. Libre aux personnages de dénoncer Orbag ou, pris de pitié pour lui, de trouver une autre explication pour le laisser reprendre sa vie. (...)
L'organisation locale est la suivante : les cultivateurs céréaliers de Bravbarg, dont les champs entourent la ville, amènent leurs récoltes de blémoud (équivalent draconirique du froment) et autres graminées au meunier municipal qui prélève paiement de ses services. Lafarineest ensuite vendue à la pâtisserie qui se charge de la transformation et de la commercialisation, pour le plus grand bonheur des affamés et des gourmands. (...)
ORBAG, LE COMMERCANT Description : Homme d'une cinquante avancée à l'embonpoint visiblement prononcé, Orbag est perpétuellement vêtu d'un tablier d'un blanc légèrement poussiéreux (lafarine) et d'une toque blanche qui cache une chevelure brune ébouriffée. D'un naturel réservé, l'homme semble plus à l'aise derrière ses fourneaux qu'au coeur de cette assemblée. (...)Il est des rêves de dragon si intimement entremêlés qu'on ne parvient plus à les distinguer les uns des autres. C'est à cette bizarrerie onirique que les voyageurs vont être confrontés dans ce scénario à double entrée. Comme bien souvent, la présence d'un haut-rêvant est de bon ton sans être absolument indispensable. De l'empathie des personnages vis-à-vis des personnages non joueurs dépend l'issue du scénario mais pas forcément sa réussite stricto sensu. L'HISTOIRE DANS LES GRANDES LIGNES ...