Les Yeux du Turul
sur Eastenwest
Contient : sommeil (3)(...) ' Après cette petite causerie, les trois hommes rentrent chez eux non sans l'aide du tavernier, pressé de fermer boutique. Une fois menés dans leurs ' quartiers ', nos voyageurs sombrent rapidement dans un profondsommeiloù un rêve étrange, stigmate d'une expérience passée vient les hanter... La bataille de Bravbarg Les personnages sont dans une large plaine sous un soleil ardent, ils sont tous en livrée de combat et lourdement armés. (...)
Ils n'avaient pas l'air très causant (et pour cause, ils connaissaient déjà les pensionnaires du Turul Aveugle pour les avoir rencontrés dans le rêve sucré). Tirelin, qui a lesommeiltrès léger, a entendu des gens descendre de l'étage du Turul Aveugle et quitter l'auberge tard dans la nuit, une heure draconique ou deux avant que le soleil ne se lève et que l'on vienne les chercher. (...)
L'entrée dans la ville (intégralement ceinte d'un double jeu de palissades) se fait par une porte charretière (suffisamment large pour laisser passer un chariot) fermée à la nuit tombée par deux grandes portes de chêne rivetées. De jour, deux gardes de la milice officient à la porte de la ville, surveillant dans un demi-sommeilles allées et venues des paysans. L'affaire se corse à la nuit tombée car, à moins de se sentir l'envie d'escalader la palissade de rondins acérés (Jet d'AGILITE/Escalade à -2 sans matériel, en cas d'échec, jet de dommages à +4), il faudra toquer à la porte, chose à laquelle les deux gardes de faction de nuit ne sont guère habitués. (...)Il est des rêves de dragon si intimement entremêlés qu'on ne parvient plus à les distinguer les uns des autres. C'est à cette bizarrerie onirique que les voyageurs vont être confrontés dans ce scénario à double entrée. Comme bien souvent, la présence d'un haut-rêvant est de bon ton sans être absolument indispensable. De l'empathie des personnages vis-à-vis des personnages non joueurs dépend l'issue du scénario mais pas forcément sa réussite stricto sensu. L'HISTOIRE DANS LES GRANDES LIGNES ...