Les Yeux du Turul
sur Eastenwest
Contient : vivre (4)(...) Nombreux étaient ceux qui pensaient qu'il reviendrait bientôt : personne ne pouvait décemment préférer à la douceur devivrede la cité, la pestilence des marais ! En effet, quelques semaines plus tard, il revint en ville par la porte des voyageurs, avec un sourire ému, s'étonnant de tout ce qui l'entourait : ' J'ai réussi ! (...)
A eux, de prendre les décisions qui s'imposent. Pour quelques Turuls de plus... Si les joueurs ont aimé la douceur devivrebravbargeotte, il y a une suite à ce scénario à faire jouer après d'autres parties : une sorte de retour à Bravbarg. (...)
Il a eu beaucoup de mal à se faire au manque de discipline des Bravbargeots mais il a fini par accepter la douceur devivredu pays au point d'accepter le rôle de chef de la milice. Alors, oui, c'est vrai... Ce ne sont pas vraiment des soldats, bien que Sassari les pousse à s'entraîner régulièrement mais c'est quand même un poste prestigieux qui le place au second rang de l'organisation de la ville, directement derrière le bourgmestre. (...)
Cela fait pour ainsi dire plusieurs siècles que la chose n'est pas arrivée, grâce à la protection du Grand Turul, mais le petit parc continue àvivreet à se développer sans intervention humaine. On continue cependant à y enterrer les morts de la ville, par habitude. (...)Il est des rêves de dragon si intimement entremêlés qu'on ne parvient plus à les distinguer les uns des autres. C'est à cette bizarrerie onirique que les voyageurs vont être confrontés dans ce scénario à double entrée. Comme bien souvent, la présence d'un haut-rêvant est de bon ton sans être absolument indispensable. De l'empathie des personnages vis-à-vis des personnages non joueurs dépend l'issue du scénario mais pas forcément sa réussite stricto sensu. L'HISTOIRE DANS LES GRANDES LIGNES ...