Les Royaumes de Sorcellerie : chapitre 1
sur Warhammer le Jeu de Rôle au format (3.3 Mo)
Contient : divine (3)(...) Les prêtres et les théologiens impériaux ont beau bénéficier de révélations inspirées par les dieux et entretenir d'étroites relations avec tout ce qui est d'essencedivine, ils ne sont plus que des benêts superstitieux quand les certitudes de leurs croyances et les hochets de leur foi se trouvent confrontés à la terrifiante incertitude, aux changements perpétuels et aux contradictions gouvernées par le hasard qui régissent le royaume «divin » de l'Aethyr. (...)
Leurs motivations restent un mystère, leurs actes sont inexplicables, mais leur maîtrise de la science et de la sorcellerie était telle que ces êtres étaient de nature quasidivine, naviguant comme des géants sur l'océan des étoiles. Selon les rumeurs qui circulent dans la plupart des cénacles liés à la magie, il existerait en Lustrie des textes archaïques et rongés par le temps,gravés sur les murailles en ruine de temples préhistoriques oubliés. (...)
Toutefois, les elfes étaient capables de modeler ces courants de magie et de les utiliser sous forme de sorts que leur enseignèrent leurs divins mentors, ainsi qu'au moyen d'autres sorts qu'ils créèrent eux-mêmes au fil du temps. En dépit de leur puissancedivineet de leur apparente omniscience, les Anciens finirent par être chassés du monde... Dans les instants qui précédèrent le Commencement, il n'y avait ni Temps, ni Matière, ni Dimension, mais seulement l'Infinie Possibilité d'existence de ces choses ; car en l'absence absolue de quoi que ce soit, tout devient absolument possible. (...)Chapitre I — Les origines et l'histoire de la magie : Il existe une énergie qui, en quelque sorte, imprègne l'Empire et toutes les terres du monde matériel, qui touche tout ce qui s'y trouve à des degrés variables, de telle façon que chaque créature, plante, roche, goutte d'eau et parcelle d'air en est pénétrée. Cette force n'est pas une énergie que nous pouvons observer, mesurer et dont nous pouvons prévoir les effets par la simple action de nos pauvres yeux, car ceux-ci sont limités ...