Punjar, le joyau terni
sur Les Editions sans Détour au format (2.1 Mo)
Contient : trop (7)(...) En fait, c'est presque un tiers des 75,000 âmes de la cité qui vivent hors de ses murs, sur des terres arides outropsalées, travaillant dans des plantations soigneusement i r r igués afin de nour r i r la populat ion grandissante de Punjar. (...)
S'éveillant avec la nuit, les nombreuses tavernes et les bordels tapageurs ne connaissent pas d'égal. Qu'il s'agisse de tire-laines repérant les clientstropsaouls qu'ils pourraient dévaliser ou d'escrocs de haut-vol qui roulent des ventres-mous d'aristocrates décadents, les nuits de Punjar ne sont pas avares d'opportunités et de dangers. (...)
Les logements des Communs sont construits très près les uns des autres, jusqu'au-dessus des rues et des venelles pour gagner encore un peu de place dans ce taudistroppeuplé. C'est une véritable bénédiction pour les cambrioleurs car les rues sont si étroites qu'elles ne voient jamais le soleil. (...)
Il n'est ici nul endroit hors de portée de la Guilde des Voleurs - elle est d'ailleurs un sujet bientroppassionnant pour qu'on la traite complètement dans ce livret, à part pour noter que, si quelques factions peuvent parfois, souvent, s'affronter entre elles, une Guilde unie derrière un objectif commun est une chose à craindre par-dessus tout. (...)
Les relations varient d'un membre à l'autre des familles mais le schéma global reste le même : les familles sont les marionnettes ; les criminels les manipulateurs. Si les intrigues de la noblesse punjaran sonttropcomplexes pour être détaillées ici, il faut noter que chaque famille entretient une garde composée des meilleurs guerriers et magiciens qu'elle peut se payer. (...)
Malheureusement, de telles unions entre la noblesse et les petites gens finit rarement bien ; à l'aube, on retrouve souvent les corps de jeunes femmes - qu'elles se soient tuées d'un coup de lame empoisonnée, incapables de supporter la vie sans leur amant, ou plus simplement que ce dernier ait décidé de se débarrasser d'unetropencombrante compagnie. La pince : la Pince est une étroite bande rocailleuse qui s'étend à l'ouest de la Porte de Mer, le principal moyen de passer entre le Pouce du Diable et la Rive nord. (...)
Les principaux membres de la famille sont le seigneur Abir Dev'shir, un homme chauve à la moustache en guidon de vélo - il porte des pantalons bouffants lavande et des chemisestropgrandes pour lui qui laissent apparaître son torse velu et grisonnant. De nombreux anneaux ornent ses doigts et se balancent à ses oreilles. (...)Bienvenue à Punjar ... Où que l'on voyage à travers tout le monde connu, nulle cité n'est plus mal famée, plus décadente ou plus mortelle que Punjar. C'est une triste collection, posée sur le sable de la côte, de taudis labyrinthiques, de ruelles enchevêtrées, de murs lépreux et d'échoppes pleines de rats. Les quartiers surpeuplés de cette cité ont produit quelques-uns des pires malfrats et des plus horribles coquins qui ont jamais régné sur les innombrables trônes du nord. Noircie par le ...