Retour à Karak Azril
sur Eastenwest
Contient : vivre (3)(...) Car les pourfendeurs qui passent ne sont plus des nains depuis que leur honneur a été sali : ils sont extérieurs à la société, et seule la perspective d'une mort reposante les faitvivre. C'est donc une armée silencieuse qui traverse le campement. Les autres hommes d'armes les regardent passer. (...)
Ces paroles semblent également devoir s'appliquer à la fête, qui continue durant des heures, alors que les personnages ont l'impression de nevivreque quelques minutes. S'il y prête attention, un personnage pourrait observer la course du soleil dans le ciel et se rendre compte de cette distorsion. (...)
Ce qui suit est une effroyable boucherie. Il faut que les personnages aient réellement l'impression devivreexactement le contraire que dans la toute première scène. Les gobelins sont en nombre incroyable, il en déferle par centaines. (...)Dans ce scénario, tous les personnages interpréteront des chefs de clans nains, en train d'accomplir un rêve : reconquérir une citadelle abandonnée il y a un millénaire aux gobelins et aux orques. Mais cette reconquête sera à la fois plus facile et plus complexe que prévue, car un fantôme prisonnier de sa honte protège le lieu plus efficacement qu'une armée. Ce n'est qu'en comprenant cette honte que la citadelle perdue de Karak Azril pourra être reconquise définitivement. Synopsis Les ...