Emergence - Preview
sur Black Book Edition au format
Contient : runners (13)(...) » « Nous sommes ici pour... » commença Sneaker avant d'être interrompu par un juron de Duster. « PARTEZ ! » La voix du gamin explosa dans les oreilles desrunners, faisant sonner leurs tympans. Je rêve ou c'est passé par mon link ? se demanda Sneaker en se tordant de douleur. (...)
Pour faciliter la tâche de Browne, Celedyr a assigné un agent des Knights of Rage (les « Chevaliers de la Rage » - pour plus de détails, voir Dragons of the Sixth World, en anglais) à sa protection, qui le représente également dans les Ombres. Sous le nom de Sulawyo, celle-ci contacte desrunnersdans le monde entier pour mener des opérations clandestines et des vols de données, bien qu'elle emploie rarement deux fois la même équipe. (...)
CADRES D'AVENTURES : Les cadres d'aventures qui suivent permettent au meneur de jeu d'introduire les événements d'Emergence dans sa campagne. UN TYPE EN OR Cette aventure place lesrunnersdans une position inconfortable entre deux mégacorpos (Ares et Horizon) qui cherchent toutes deux à mettre la main sur un technomancien. (...)
Quand Gunn prévient l'un des producteurs qu'il a reçu des menaces de mort, le personnel de la corpo décide de garder un oeil sur lui au cas où. Lesrunnersreçoivent un appel de la part de l'un de leurs fi xers, leur demandant s'ils sont disponibles pour un job d'escorte. S'ils acceptent, lesrunnerssont envoyés à la rencontre d'une Mlle Johnson très élégante et tridéogénique, qui leur confi e un job d'escorte et de protection à Los Angeles dès le lendemain (ou tout délai approprié selon la distance que doivent parcourir lesrunners). Une fois sur place, ils doivent rencontrer un elfe du nom de Frederick Gunn, se présenter comme des représentants de Truman, s'assurer qu'il reste en sécurité, et le livrer indemne au studio Truman le lendemain. Après la livraison, lesrunnersdoivent assurer sa sécurité pendant les six heures consacrées à l'enregistrement de l'émission, et veiller à ce qu'il rentre chez lui sain et sauf. (...)
Le groupe a découvert et confi rmé l'endroit où il se trouve à LA, et doit lancer une mission de « reconnaissance » du bonhomme. Lesrunnersdébarquent dans la moiteur de Los Angeles, et repèrent rapidement leur cible à l'hôtel que leur a indiqué leur contact de chez Truman. (...)
Malheureusement, l'hôtel accueille le congrès trimestriel de la Ligue transhumaine, et Gunn y intervient en tant qu'invité (un détail qu'il a « oublié » de préciser à Truman). Lesrunnersdoivent attendre pendant que Gunn participe au séminaire et se mêle à la foule particulière et un peu étrange, caractéristique des rassemblements transhumains. (...)
Nombre des membres de la Ligue sont extrêmes dans leur goût pour les modifi cations physiques et les implants, et certains pourraient s'intéresser au cyber que portent lesrunners. Lors de l'un des pauses, Marilyn Barr, un agent d'Horizon se faisant passer pour une productrice de MCT, s'approche pour faire le connaissance de Gunn. (...)
Le rendez-vous est fi xé au Tedescu, un restaurant huppé tout proche, et Barr veut aborder la question d'une possibilité pour sa compagnie de développer du contenu sur la base des « expériences transhumaines » de Gunn. Si lesrunnersentravent la liberté de mouvement de Gunn, ile proteste: après tout, ils sont censés le protéger, pas le boucler. (...)
Il est particulièrement peu enclin à rater un tel rendez-vous avec un producteur d'un tel calibre et va même jusqu'à les implorer, voire leur graisser la patte avec un peu de cash. Si cela ne fonctionne pas, il tente de fi ler à l'anglaise. En arrivant au Tedescu, lesrunnersréalisent que le seul nom sur la liste est celui de Gunn. Lesrunnersdoivent attendre dehors ou trouver un autre moyen d'entrer (si cela retient Gunn trop longtemps, il parviendra à faire entrer un ou deux d'entre eux en les présentant comme ses « gardes du corps »). Tedescu dispose d'un environnement RA élaboré, et les clients sont invités à socialiser tant virtuellement que physiquement. (...)...ANOMALIES SYSTÈME... La vision nocturne de Sneaker révélait toutes les fi ssures fendant le vieux linoléum de l'entrée. Des portes percées de hublots noirs et silencieux, étaient alignées sur sa droite. Des lumières rouges clignotaient à intervalles réguliers sur le clavier qui accompagnait chacune d'entre elles, indiquant que les serrures automatiques étaient toujours verrouillées. Une pluie battante frappait les vitres, et les éclairs intermittents perturbaient sa vision adaptée à la ...