« Crimes », l'Écran – « La Fabrique de l'Horreur »
sur Petit Peuple
Contient : style (4)(...) C'est donc avec une certaine appréhension que j'ai entamé la lecture de l'écran de Crimes et de son supplément. « Un classique écran cartonné et son fascicule de règles un peu fatras, dustylecorrections et errata du livre de base, scénario débile et juste ce qu'il faut de papier et d'encre pour justifier son prix de vente » me suis-je dit au premier abord. (...)
« La Fabrique de l'Horreur » est LE supplément indispensable pour donner une nouvelle dimension à « Crimes » et jouer dans le plus purstyle« horreur ». Sept nouvelles ambiances de jeu y sont décrites à merveille, avec à chaque fois des phrases-clés pour les illustrer, une description dustyle, des conseils pour poser le cadre et leur donner une saveur toute particulière, les règles propres au genre ainsi que la façon d'adapter les règles du livre de base à ce genre et des amorces d'intrigues agrémentées d'idées de rebondissement. Le chapitre 1 est passionnant et explique comment construire l'horreur, certainement un des genres les plus difficiles à mettre en scène. (...)
Si vous jouez à autre chose que « Crimes », mais que vous souhaitez intégrer une dimension Horreur à votre campagne, ruez-vous sur ce supplément, c'est sans nul doute un très bon investissement. Nous avons là un supplément universel, intemporel, utile à tout maître de jeu aimant lestyle« horreur », mais aussi un complément INDISPENSABLE à tout possesseur du jeu « Crimes ». Les auteurs de « Crimes » nous prouvent encore une fois que c'est la dimension ambiance qui prime sur le côté simulationniste. (...)Je serai honnête avec vous, comme vous le fûtes jadis avec moi. Je me souviens encore de vos mots, lors de notre première rencontre : « J'ai toutes les raisons de vous hair. L'homme qui m'a appris votre langue était un prêtre français, tout comme vous. Il ne connaissait pas la morale, ma mère en aura fait les frais. De plus, je suis protestant, et je n'accorde pas le moindre respect à votre religion ». Comme mon sourire a dû vous surprendre et vous intriguer ! Vous le savez aujourd'hui, j'aime cette ...