Bayonne sous les Cendres
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Contient : nobles (3)(...) Les autres habitants de Bayonne vécurent bien cela comme du snobisme, mais il faut bien admettre que si le Grand Bayonne à fière allure aujourd'hui, c'est essentiellement grâce à l'argent qu'investirent les marchands et lesnoblesdans leur quartier. Il fallait une vitrine pour Bayonne, et ce quartier remplit aujourd'hui parfaitement cette fonction. (...)
Si Toribio ne souhaitait pas voir de civiles dans cette partie de la ville, il à fini par se laisser corrompre par la réussite de son entreprise. En effet, les commerçants et lesnoblesde la ville aiment à ce sentir dans leur petites enclaves personnelles et Toribio dût faire des concessions pour garder certains éléments de valeurs dans sa citée. (...)
Il est simple de deviner à la vue de tout ceci que la population du Grand Bayonne est à l'exact inverse de celle du Petit Bayonne. On retrouve ici les hauts dignitaires de la citée, les grands marchands et lesnobles. Le quartier est lui même divisé en trois grande partie : Nous avons vu qu'il y avait déjà le grand Parc Paulmy, auquel s'ajoute le quartier résidentiel, bordant le parc et descendant jusqu'au Quai du Commandant Roquebert ou au Quai de l'Amiral Jauréguiberry, et enfin le quartier commercial qui débute aux abords du Parc Paulmy à hauteur de l'avenue du 11 novembre jusqu'à l'Avenue du Général Leclerc et ainsi jusqu'au Pont Mayou. (...)Un peu d'histoire : Comme nous le savons, au Pays Basque comme ailleurs, les grandes villes côtières furent rasées par le tsunami qui suivi la catastrophe. Bayonne ne fît pas exception à cette règle, et le nombre de mort fût considérable dans la citée, et dans tout le district. Longtemps, la ville resta à l'état de ruines malodorantes, à demi ensevelie dans la vase et à nouveau entourée de marais sombres et dangereux à pratiquer. Plus personne n'y vivait hormis quelques reclus ou criminels ...