Amour, Gloire et Religions à Bayonne
sur Club Table Ronde au format (7.5 Mo)
Contient : vivre (3)(...) Une fois la crise passée, on pût pleurer les deux défunts, et les enterrer... De vrais enterrement pour une fois, au fond des jardins du Beyris, anciennement le parc. Il fallait continuer àvivre. De nouveaux patriarches parmi les enfants des précédents furent désignés et la vie reprit son cour. (...)
La petite communauté de Beyris fût visitée par le nouveau gouverneur et les patriarches du moment (Koldo Laulhé et Alaia Elizabe) eurent la bonne idée d'offrir leurs services aux nouveaux arrivants. Ils proposèrent de fournir des vivres et de l'aide aux travailleurs tant qu'on les laissaientvivreici. Le gouverneur Otchoa accepta et les Laulhé comme les Elizabe connurent une période plus douce grâce à l'argent qu'ils gagnèrent. (...)
Il achève de séparer définitivement les deux familles en envoyant un courrier à son rival de la famille Laulhé : tant que les discriminations de vol à l'égard de la famille Elizabe n'auront pas été retirés publiquement, la famille Laulhé sera ouvertement considérée comme une famille de bandits de grands chemins juste bonne àvivreen hermite dans les anciennes ruines du Beyris. Voici donc maintenant onze ans que les deux familles se livrent à une guerre larvée. (...)Dans ce scénario, les personnages vont se trouver confrontés à une histoire de miracle aux répercussions multiples et à une histoire de famille remontant au cataclysme. Ils vont devoir affronter la folie d'un Archevêque et risqueront de perdre tout honneur ainsi que leur paroisse de Bayonne... Peu après l'arrivée de nouveaux prêtres en ville, dont font partie les PJ, et au tout début des fêtes de Bayonne, un événement jugé miraculeux va se produire : Deux personnes vouées à une noyade ...