Flesh
sur Les Alchimistes au format (1.9 Mo)
Mise en garde : Par les sujets qu'il traite et les personnages qu'il met en scène, ce scénario est à même de choquer certaines personnes. Ceux pour qui les questions de traffic d'organes, de pédophilie ou de snuffmovies constituent une limite à la fiction sont invités à ne pas pousser la lecture plus loin. Le maître du jeu qui décidera de mettre en scène ce scénario devra prendre en compte la sensibilité de ses joueurs, d'autant que les personnages qu'ils incarneront ne sont pas eux-mêmes exempts ...Contient : trop (28)(...) Il se trouve que le jeune homme que vous avez déjà rencontré pour le versement de l'acompte a justement les compétences requises pour ce genre de travail » Le mexicain commençait à se dire qu'il s'était engagé dans un tructropcomplexe pour lui, mais en repensant au double bénéfice prévu, il abandonna cette idée en secouant la tête. (...)
Il venait de faire une nuit blanche sur un bateau de pêche un peu particulier, mais il n'était pas fatigué, loin de là. En fait, il était tout simplementtropexcité pour espérer trouver le sommeil. Il décida donc de braver la décision de justice qui lui interdisait d'approcher des écoles pour aller mater quelques têtes blondes. (...)
Client assidu du porno de l'extrême et autres snuffs movies, il lui était arrivé une ou deux fois de tourner en amateur, mais il n'aimait pas ça, être filmé. Les films, il préférait les voir. Non qu'il n'aimât pas agir, mais il était décidémenttroppudique outropégoïste pour vouloir partager ses moments d'abandons. Connaisseur fanatique de cette marchandise underground, Steven Lee n'avait pas été sans remarquer l'étrange conjonction publicitaire : trois nouveaux snuffs en prévision pour le mois suivant, toute la production qu'on pouvait normalement espérer en une année. On peut dire que lorsque Windsworth l'avait appelé pour lui causer barbaque ça avait tout de suite fait tilt dans sa tête; puis bang dans son slibard. (...)
En dehors de deux petits dealers (un afro-américain du nom de Luther blackman mais qui se fait appeler White Dog et un portoricain du nom de Jésus da-silva qui a préféré opter pour le surnom de Knife), les personnages coincent un individu de race blanche qui a pris la fuite dès qu'il les a remarqués et qui pourtant ne possède pas de drogue sur lui. Sous le coup de l'adrénaline ettropénervé de s'être fait serrer aussi connement, Steven Lee se débat et hurle comme un porc qu'on égorge « J'ai rien fait, lâchez moi ! (...)
Dans le bureau de Griffins, un vieux gars un peu dégarni attend en mâchant un chewing-gum à l'odeur un peutropchimique. Le capitaine fait les présentations. «Nous avons un accord avec Mr Gilmore, du RHD. Ils ont besoin du pédophile pour coincer une grosse légume. (...)
Si les personnages ne sont pas encore intervenus, c'est là que tout barre en couille : les mexicains tombent sur la CSA prévenue un peutroptard et les coups de feu sont inévitables. A l'étage au dessous la transaction a commencée et dégénère rapidement dès les premiers coups de feu tirés. (...)
Mais comme on n'est jamais à l'abri des dérapages il s'est assuré la présence de cinq gars en armes, capables d'éloigner « les éventuels bizarrestropentreprenants ». Les cinq gaillards ont passé les dernières 24 heures dans le studio pour surveiller les lieux ainsi que la chair fraîche remisée dans un entrepôt attenant. (...)
Andrew a des connaissances dans le quartier chinois qui pourront lui remplir la glacière avec des organes de porc (pastroploin des organes humains) à toute heure de la journée et de la nuit. Annexes : Les Personnages joueurs : A l'intention exclusive du MJ et à lire de préférence avant le scénario. (...)
Calculateur et intelligent ». Andrew est un gars sérieux qui fait tout consciencieusement. Bien qu'il ne se fasse pastropd'illusion sur son utilité Andrew a une haute opinion de son travail, peut être parce qu'il a du trimer dur pour l'obtenir. (...)
Merci aussi pour les nombreuses critiques. Merci ensuite à Stéphane qui m'a donné l'occasion de donner corps à un de cestropnombreux projets indéfinis qui me hantent au quotidien. Merci aussi pour les encouragements et pour la gentillesse. (...)
J'ai été son équipier pendant quelques mois et il n'a pas son pareil pour obtenir des aveux, même si c'est parfois à la limite du légal. Quelquefois il me met mal à l'aise, je me demande s'il ne prend pastropplaisir à exercer son pouvoir. En tout cas, il a une femme épatante et bien éduquée. Tous les deux viennent de la haute. (...)
Le NOM : Je ne suis pas raciste, ni extrémiste. Mais il faut reconnaître qu'ils ne disent pas que des conneries. On est allétroploin dans la merde, et ce ne sont pas les mesurettes de nos politiciens timorés qui résoudront quoi que ce soit, parfois on a besoin de mesures radicales pour ramener l'ordre. (...)
Ce que je pense de mes coequipiers : Will est comme mon frère, on a toujours tout partagé, tout fait ensemble. C'est vraimenttropcon qu'il soit aussi idéaliste. C'est un excellent flic, mais certainement pas l'étoffe d'un gradé. (...)
Toujours vif et propre sur lui, c'est un vrai fils à papa comme je les déteste. Sur que si ce con est ici plutôt qu'ailleurs c'est qu'il étaittropcon pour aller à Yale, parce que c'est clairement pas le pognon qui aurait posé problème. Son entrée au COPS c'est à son tonton qu'il la doit, et il pourra compter sur lui pour progresser rapidement. (...)
Quoi qu'il en soit ils en ont été pour leurs frais : Francesco est un très bon élément, très efficace, il a très vite compris que son métier avait changé. William trouve qu'il privilégie un peutroples chicanos, mais quoi de plus naturel a vouloir aider un peu « sa famille » ? Ce que je pense des institutions : Le COPS : Une bonne idée des politiques (ça arrive parfois), et torpillée par des politiques. (...)
Avec le lot, j'ai accepté une place au COPS, avec en vue le noyautage d'un nouveau corps de justice pour le groupe politique paternel. Et franchement, c'est bien plus drôle maintenant. Il faut faire un peu gaffe à pastropdéborder, histoire de pas me griller, mais dans l'ensemble c'est comme dans toutes les bandes : il y a un bon esprit d'équipe et on se serre les coudes. (...)
Non, sans rire, ce mec il m'éclate. C'était mon équipier avant que son pote Dwight n'arrive, et j'ai adoré bosser avec lui. Un peutropcul béni peut-être, à la fin ça en devient chiant, mais passionné par son boulot. Un des seuls avec lequel on peut sortir le gyrophare et faire du contresens sur l'autoroute pour serrer un minable. (...)
Il viserait la montée en grade pour la fin de l'année que ça m'étonnerait pas. On s'est pris la tête l'une ou l'autre fois à propos d'un interrogatoire qu'il jugeaittropmusclé. Bob est un gros con flasque qui baise des mineurs mexicains en salle d'interrogatoire et se fait pincer. (...)
Pourtant, mon môme c'est ma fierté, une force de la nature. Il bosse à l'UDU. Ce que je pense de mes coequipiers : William est un bon flic, encore un peutropidéaliste. Il est jeune, ça lui passera. Dwight est jeune et pourtant il a déjà tout compris. S'il ne prend pas une balle perdue d'ici là, l'an prochain il sera dans la chaise du patron. (...)
Avec le matériel et les hommes il y a néanmoins toujours moyen de faire un boulot correct, de toute façon, c'est tout ce que j'ai à faire. Le NOM : Un dangereux parti d'extrême droite en pleine ascension. Mais ses dirigeants sonttropostensibles pour arriver bien haut. On a beau être en californie, il y a des subterfugestropgros. La justice : Une utopie. On ne pourra jamais l'atteindre mais il faut s'y efforcer. Ce que je pense de mes coequipiers : William : Un policier médiocre.Tropattaché à un idéal de justice pour progresser. Mais un de ceux grâce à qui le boulot est fait, et parfois bien fait. (...)
Quoi qu'il en soit, dans la lie de ce service il reste parmi les seules perles du COPS. Sean : Une fouine dépravée. Il parletroppour ne rien dire, il est violent par plaisir, et fait courir de mauvais bruits sur les gens. Il fait croire que bob est homosexuel et se tape des enfants. (...)
Au début j'ai eu un peu peur qu'il ne dérape, mais je l'ai très vite canalisé. C'est un très bon élément, et un atout physique indéniable. A mon goût il est un peutropindulgent envers ses pairs hispanos, mais personne n'est parfait. Je ne désespère pas cependant de réussir à l'en dissuader, car cela ne va pas vraiment de pair avec le métier. (...)
J'étais tellement bon avec un flingue qu'on m'en a confié un avec une lunette. Mais ça me plaisait pastrop. Tirer de loin ça n'a jamais été mon truc, j'ai toujours préféré le contact. Les armes blanches, les armes de poing, la lutte. (...)
Finalement, faire le sniper c'était pas si mal pour moi, ça m'a un peu calmé. J'ai maintenant 27 ans et quelques conflits derrière moi. J'étaistropvieux pour continuer à risquer ma peau, et puis étrangement j'ai commencé à me poser des questions sur les raisons de mon engagement. (...)
Il est très fier d'avoir un petit gars de son ancienne unité qui est devenu COPS, et saura faire en sorte que l'armée ne fasse pastropobstruction aux flics (niveau 2) Points d'ancienneté : 1 ; Points d'adrénaline : 2 Stages : Stage de tir niveau 1 - « Stage Pat Garrett » (tir instinctif, tir dissuasif, +1 dommage avec armes de poing) / Stage de tir niveau 2 - « Stage Wyatt Earp » (tir sûr, rechargement rapide, +1 au jet de localisation avec armes de poing). (...)