Au Diable la Bagatelle !
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Lyon et les Années Folles : L'histoire qui suit se déroule à Lyon, au début de l'année 1923. Elle propose aux investigateurs de faire connaissance dans une atmosphère mondaine, détendue et plus qu'agréable, pour les plonger subitement dans l'horreur. Confrontés au meurtre atroce d'un proche dont la disparition les touche tous profondément, ils suivront une fausse piste qui les occupera longtemps et leur fera entr'apercevoir la vérité, pour les ramener en définitive vers le drame principal et ...Contient : grande (34)(...) Un sanglant final, patiemment mis en place, pourra alors éclater et laissera les investigateurs devant un choix difficile... Les protagonistes : Deux des acteurs du drame sont anglais et appartiennent à l'excentrique famille des Thorpe. Sir Edmund Thorpe est un vieil aristocrate anglais. Il habite en France depuis la fin de laGrandeGuerre et vit une paisible retraite dans la capitale des Gaules. Son passé dans les colonies de la Couronne lui a permis d'affronter des situations surnaturelles et de recueillir quelques informations sur le Mythe [Sort connu : Créer un Zombie - A en sa possession un exemplaire du « Rameau d'Or »]. (...)
Elles partagent leur temps entre Lyon, Paris, leurs amants, leurs maîtresses et les soirées mondaines où se consomment drogues et alcools. Maggy a participé à laGrandeGuerre et a été grièvement blessée aux poumons. Elle n'a plus que quelques années devant elle, avant de succomber à son mal. (...)
Les excès des Années Folles Au lendemain de la guerre, la France veut oublier le cauchemar qu'elle vient de vivre. Les Années Folles resteront une période degrandepermissivité, aux nombreux débordements. Outre les canons en matière de libération de la femme et des moeurs, les gens ont envie de s'amuser par tous les moyens dont ils disposent. (...)
Tout le monde danse dès qu'il le peut et l'on trouve de nouveaux pas, de nouveaux airs chaque semaine. L'engouement pour le sport et les paris prend aussi unegrandeimportance dans la vie de tous les jours - on palpite en suivant les performances des athlètes français et on joue gros sur les résultats ! (...)
Ce savant un peu toqué passe son temps à construire des inventions insolites avec l'assistance survoltée d'une bande d'étudiants fortunés se prêtant au jeu. Sagrandemarotte reste la célèbre horloge de l'Abbatiale St Jean. Le Doc a appris l'existence d'un engrenage inutilisé de 367 dents à l'intérieur du fabuleux ouvrage. (...)
Sont ainsi « ressuscitées » par les pensionnaires de l'établissement Aspasie, la divine maîtresse de Périclès, Phrygné, une courtisane si belle que lors de son procès elle fut acquittée après que son avocat l'ait simplement dévêtue, la cruelle Poppée, épouse de Néron qui fit tant de victimes, Lucrèce Borgia, reine des intrigantes, Blanche et Marguerite de Bourgogne qui tuèrent un amant chaque soir dans la Tour de Nesle jusqu'à ce que Buridan les arrête, Ninon de Lenclos la plusgrandecourtisane de tous les temps (17ème siècle), ... Au Diable la Bagatelle ! Une soirée bien raisonnable : Lyon, le jeudi 25 janvier 1923. (...)
Ils ont invité pour l'occasion tout le gotha local, dont fait partie la plupart des investigateurs. Sur les hauteurs de St Cyr, unegranderésidence accueille les convives. Le parc de la maison s'est vu envahir par les voitures de maître, soigneusement alignées et en parfaite harmonie. (...)
Ils sont en effet conviés à une assemblée générale du Cercle EROS. Henri Velpont, le Doc, doit y présenter sa toute dernière invention, sa plusgranderéussite... Dans la salle réservée aux projections de films et dessins animés érotiques, le scientifique a préparé son speech et sa démonstration. (...)
Même si les faits sont troublants, si la vision que viennent de partager tous les membres du Cercle semblait quasi réelle, il est bien évident pour une majorité du Cercle et certainement pour le colonel Lagarde, que toute l'histoire repose seulement sur une tropgrandedose d'opium et une hallucination collective. Le Doc promet de montrer le lendemain la preuve de son génie et du fondement de son invention. (...)
L'orchestre dont fait partie Léon Bonnefoix est lui aussi convié au repas, sur une petite table à part. Puis le personnel de maison débarrasse et prépare lagrandetable centrale pour la séance de spiritisme, avant de se retirer. L'orchestre prend place et la véritable soirée débute... Elle se déroule dans de bonnes conditions, les convives se sentant particulièrement « ouverts » au monde de l'au-delà. (...)
Le colonel Lagarde pourrait ainsi lancer un Exorcisme avec l'aide de ses camarades (le POU du démon est laissé à la judicieuse appréciation du Gardien...). Si ce dernier réussit, Maggy aura néanmoins perdu unegrandepartie de son âme et sera devenue un légume. Triste consolation, les investigateurs auront repoussé Aznataroth jusqu'à sa prochaine invocation et Lord Thorpe n'aura pas perdu ses deux filles, même si celle encore en vie n'est plus qu'un corps sans esprit... Annexes : - Pentacle des sacrifices - Chronologie générale - Chronologie - Cercle EROS - Calendrier - Année 1923 - Die Liliths Muschi - Sorts d'invocation et de contrôle d'Aznataroth Lizzy Emilie Chabert Antoine Presle Renée Presle Honoré de St Oulbins Julien Duval Paul Presle Lucien Caldont Chronologie générale : 13/01 - Philippe Ruecau lance Contacter Aznataroth, Celui qui Ranime les Disparus 15/01 - Arrivée du démon dans le corps d'Ivan Gueule d'Amour et contrat avec Philippe R. (...)
... Le Doc se prend lui-même à douter et des rumeurs sur une intervention occulte commencent à se propager dans le Cercle... J + 4 : Présentation de la seconde catin etgrandefête aux Plaisirs Oubliés. J + 4/6 : Triomphe délirant de Philippe Ruecau et dénouement pour les investigateurs J + x : Mort de Philippe au cours de ces journées... Léon Bonnefoix - Jazzman. (...)
Il rentra à Lyon dans un état psychologique inquiétant et se remit à jouer pour les poilus en permission. Lyon et les Années Folles Depuis la fin de laGrandeGuerre, Léon a pu profiter de l'euphorie générale pour se découvrir enfin une passion : la trompette et le Jazz. (...)
Maggy seule semble l'apprécier un peu plus que ses autres étalons - c'est de cette manière qu'elles appellent leurs amants. Ils parlent souvent ensemble de leur expérience de laGrandeGuerre et, parfois, Léon espère plus que ces fugitifs moments de plaisir et d'abandon dans les bras de sa maîtresse. (...)
Mais rien ne pourrait lui faire oublier d'où il vient - ses origines sont encore à quelque pas du Humming Black Bird, dans ce quartier sordide où sa mère essaye tant bien que mal d'élever les gosses qui ne lui ont pas été volés par la guerre. Léon lui donne unegrandepartie de ses revenus et ne s'offre que le minimum de confort, une chambre d'hôtel sur la presqu'île. (...)
Et Léon qui ne pense toujours qu'à avoir un peu de temps libre avec Maggy... Les excès des Années Folles Au lendemain de la guerre, la France veut oublier le cauchemar qu'elle vient de vivre. Les Années Folles resteront une période degrandepermissivité, aux nombreux débordements. Outre les canons en matière de libération de la femme et des moeurs, les gens ont envie de s'amuser par tous les moyens dont ils disposent. (...)
Tout le monde danse dès qu'il le peut et l'on trouve de nouveaux pas, de nouveaux airs chaque semaine. L'engouement pour le sport et les paris prend aussi unegrandeimportance dans la vie de tous les jours - on palpite en suivant les performances des athlètes français et on joue gros sur les résultats ! (...)
Et chaque jour qui passait accroissait cruellement la culpabilité de Lord Thorpe, lui qui n'avait même pas su retenir sa fille en sécurité. Lyon et les Années Folles A la fin de laGrandeGuerre, Lord Thorpe retrouva enfin Margaret, indemne physiquement mais très perturbée par ce qu'elle avait enduré. (...)
Ce savant un peu toqué passe son temps à construire des inventions insolites avec l'assistance survoltée d'une bande d'étudiants fortunés se prêtant au jeu. Sagrandemarotte reste la célèbre horloge de l'Abbatiale St Jean. Le Doc a appris l'existence d'un engrenage inutilisé de 367 dents à l'intérieur du fabuleux ouvrage et rêve d'en découvrir le sens et la fonction, inconnus jusqu'à présent. (...)
Sont ainsi « ressuscitées » par les pensionnaires de l'établissement Aspasie, la divine maîtresse de Périclès, Phrygné, une courtisane si belle que lors de son procès elle fut acquittée après que son avocat l'ait simplement dévêtue, la cruelle Poppée, épouse de Néron qui fit tant de victimes, Lucrèce Borgia, reine des intrigantes, Blanche et Marguerite de Bourgogne qui tuèrent un amant chaque soir dans la Tour de Nesle jusqu'à ce que Buridan ne les arrête, Ninon de Lenclos la plusgrandecourtisane de tous les temps (17ème siècle), ... Le Cercle reste le petit secret qu'ils évitent d'ébruiter publiquement et évoquent dans quelques échanges complices. (...)
Il se mit à apprécier puis à aimer ces pays d'Afrique Noire et leurs peuples, leur trouvant pour beaucoup d'aspects une plusgrandevaleur que chez ses compatriotes. Lorsque éclata laGrandeGuerre, le Colonel Lagarde était établi dans une garnison du Sénégal et instruisait les indigènes pour former des milices autochtones. Il était alors considéré par ses soldats comme le Grand Papa Blanc. (...)
Il savait très bien que peu d'entre eux reviendraient du front et qu'il participait activement à lagrandeboucherie. Il avait vu tant de soldats mourir au cours de sa longue carrière. Mais le devoir était plus fort que tout et il continua à sacrifier ses contingents de sénégalais jusqu'à l'Armistice, de plus en plus dégoûté par le drapeau. Lyon et les Années Folles A la fin de laGrandeGuerre, le colonel Lagarde resta encore quelques temps au Sénégal et dans les colonies noires mais il avait du mal à regarder ce que la France avait fait subir à ces peuples. (...)
Ce sort peut être employé pour aider une victime possédée par Y'Golonac ou dont l'esprit a été remplacé par celui d'un représentant de laGrandeRace de Yith. Exorcisme remarquable pour un anglais, il semble apprécier l'esprit du Lyonnais. (...)
Ce savant un peu toqué passe son temps à construire des inventions insolites avec l'assistance survoltée d'une bande d'étudiants fortunés se prêtant au jeu. Sagrandemarotte reste la célèbre horloge de l'Abbatiale St Jean. Le Doc a appris l'existence d'un engrenage inutilisé de 367 dents à l'intérieur du fabuleux ouvrage et rêve d'en découvrir le sens et la fonction, inconnus jusqu'à présent. (...)
Sont ainsi « ressuscitées » par les pensionnaires de l'établissement Aspasie, la divine maîtresse de Périclès, Phrygné, une courtisane si belle que lors de son procès elle fut acquittée après que son avocat l'ait simplement dévêtue, la cruelle Poppée, épouse de Néron qui fit tant de victimes, Lucrèce Borgia, reine des intrigantes, Blanche et Marguerite de Bourgogne qui tuèrent un amant chaque soir dans la Tour de Nesle jusqu'à ce que Buridan ne les arrête, Ninon de Lenclos la plusgrandecourtisane de tous les temps (17ème siècle), ... Le Cercle reste leur petit secret, qu'ils évitent d'ébruiter publiquement et évoquent dans quelques échanges complices. (...)
Cette assurance fatale d'en finir avant l'âge trotte depuis dans l'esprit de la jeune anglaise et a développé en elle une phobie critique de la mort. Lyon et les Années Folles : A la fin de laGrandeGuerre, démobilisée, Maggy ne put se résoudre à rentrer en Angleterre et préféra rester à Paris en compagnie de ses camarades de combat. (...)
Pour patienter, les filles ont un peu relevé la sauce de la partie chez les Duval : une fois n'est pas coutume, elles se sont débrouillées pour que tout leur cheptel soit présent, y compris Léon qui jouera dans l'orchestre... Jean Moisseutier - Inspecteur à la Section Mixte Né le 03 décembre 1890, Jean Moisseutier est le benjamin d'unegrandefamille de médecins lyonnais. Son frère, l'aîné des enfants, est devenu médecin comme son père et son grand-père avant lui. (...)
Ses parents assuraient toujours ses dépenses financières et lui offrirent une rente à vie somme toute confortable pour compléter son triste salaire de fonctionnaire. En 1914, il fut miraculeusement exempté et évita le départ au front. Il vécut toute laGrandeGuerre dans le camp des planqués alors que sa famille s'enrichissait sur le dos de lyonnais moins chanceux qui avaient vu leurs fils et leurs maris partir à la guerre. (...)
D'un autre côté, tant de jeunes gens mourraient dans cette sale guerre. Aurait-il, lui, échappé à ce funeste destin ?... Lyon et les Années Folles : A la fin de laGrandeGuerre, Jean fut nommé inspecteur pour pallier aux pertes de la Der des Ders. Sa carrière de flic de la Mondaine commença réellement à ce moment. (...)
* Sir Edmund Thorpe, le père des jumelles, est un noble anglais un peu décadent. Extrêmement riche, il dépense son argent sans compter pour la plusgrandejoie des lyonnais. Une personne déjà fort agréable en soi mais qui a en plus lagrandequalité d'être le père des soeurs Thorpe, ce qui n'a pas de prix aux yeux du jeune inspecteur. Jean prend donc bien soin de cultiver le vieux Lord et de se montrer des plus charmants. (...)
Il est lui aussi de toutes les fêtes organisées par les Thorpe. Officier à la retraite, Lagarde n'a pas lui non plus participé à laGrandeGuerre. En tout cas pas directement. Il était dans les colonies, instructeur au Sénégal si les renseignements de l'inspecteur sont bons. (...)