Le Quatrième Cavalier
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Cette aventure commence à Paris un jour du mois de mai 1920. Elle a été conçue pour un meneur de jeu expérimenté, des joueurs qui le sont moyennement et des personnages, de préférence débutants, ayant un profil scientifique. Si vous choisissez d'utiliser les personnages prétirés (présentés au chapitre il faut compléter leurs caractéristiques « Le groupe de recherche Thiébault Bienaimé »). Elle attend. Avec la patience des rochers, Elle attend. Avec la certitude que ce n'est pas en vain, ...Contient : sorcières (4)(...) Cette vallée fut la dernière parcelle de France à être christianisée, bien après le reste du pays. Les sacrifices humains et les sabbats desorcièresfurent plus nombreux ici que dans toute l'Europe. Durant tout le Moyen Age, des seigneurs brigands, plus cruels les uns que les autres, ont rançonné, massacré, torturé. (...)
Cet objet est le Mal incarné, sa seule présence suffit à concentrer le Mal, à pervertir les plus faibles et à attirer les plus pervertis sans que personne ne se doute de son existence. Ainsi la foi chrétienne eut du mal à s'implanter, ainsi lessorcièresvinrent dans cette vallée pour leurs sabbats, ainsi les seigneurs locaux devinrent des brigands, ainsi les épidémies firent ici des ravages, ainsi un certain Rouvier arriva un jour. (...)
Paul Rouvier : Le « Parisien » comme les gens d'ici l'appellent, vit seul dans une cabane d'alpage dominant la vallée. Il est l'héritier dessorcièreset des prêtres païens. Ce n'était pas un mauvais bougre au départ, simplement un homme mal dans sa peau en proie à de terribles cauchemars. (...)
D'une manière ou d'une autre, la Chose est l'idole de ces cultes ; tout ce qui est griffu ou tentaculaire est directement inspiré par elle. Malgré les millénaires de lutte, l'évangélisation des tribus païennes, la chasse auxsorcièreset l'Inquisition, le Mal ne disparut pas. Du fond de sa tombe, le géant appelait régulièrement la Chose qui lui avait été ravie et ses appels avaient toujours les mêmes conséquences : la Guerre puis la Pestilence puis la Famine. (...)